Le tribunal de grande instance de Créteil doit étudier, le 8 février, en référé, le recours qui oppose une association de riverains et Orange.
C'est finalement le 8 février que se tiendra, au tribunal de grande instance de Créteil (Val-de-Marne), l'audience en référé dans l'affaire qui oppose, depuis plusieurs mois, l'association de riverains du quartier Saint-Just Hartière et l'opérateur de téléphonie Orange SA.
L'association de quartier en vingt-sept de ses membres, à titre individuel, s'opposent à l'installation d'un pylône de 19 mètre de haut avec trois antennes relais, sur un terrain situé au 195, rue des Fossés.
Débuté en novembre le chantier a été vite arrêté. Il est au même point mort depuis la saisine du tribunal.
Dans ses conclusions, en date du 1er décembre 2009, l'avocat des plaignants a mis l'accent sur les risques sanitaires que pouvait causer une telle installation, à proximité des habitations, ainsi que sur la nécessité de prévenir un dommage imminent au nom du principe de précaution.
Attente de conclusions
Fixée initialement au 29 décembre, l'audience a été reportée une première fois à la mi-janvier 2010. Mais, du fait qu'au 31 décembre, Orange SA n'avait toujours pas fourni ses conclusions - toujours selon les plaignants -, l'audience a donc été repoussée, une dernière fois (?) au 8 février.
Entre temps, les plaignants en sauront plus sur le contenu technique du dossier de l'opérateur téléphonique et, notamment, sur les normes qu'il applique en matière de champs électromagnétiques.
Les associations, au plan européen, demandent la limitation de ces champs à 0,6 volt par mètre alors que la norme des opérateurs se situe, en général, autour de 40 volts.
C'est finalement le 8 février que se tiendra, au tribunal de grande instance de Créteil (Val-de-Marne), l'audience en référé dans l'affaire qui oppose, depuis plusieurs mois, l'association de riverains du quartier Saint-Just Hartière et l'opérateur de téléphonie Orange SA.
L'association de quartier en vingt-sept de ses membres, à titre individuel, s'opposent à l'installation d'un pylône de 19 mètre de haut avec trois antennes relais, sur un terrain situé au 195, rue des Fossés.
Débuté en novembre le chantier a été vite arrêté. Il est au même point mort depuis la saisine du tribunal.
Dans ses conclusions, en date du 1er décembre 2009, l'avocat des plaignants a mis l'accent sur les risques sanitaires que pouvait causer une telle installation, à proximité des habitations, ainsi que sur la nécessité de prévenir un dommage imminent au nom du principe de précaution.
Attente de conclusions
Fixée initialement au 29 décembre, l'audience a été reportée une première fois à la mi-janvier 2010. Mais, du fait qu'au 31 décembre, Orange SA n'avait toujours pas fourni ses conclusions - toujours selon les plaignants -, l'audience a donc été repoussée, une dernière fois (?) au 8 février.
Entre temps, les plaignants en sauront plus sur le contenu technique du dossier de l'opérateur téléphonique et, notamment, sur les normes qu'il applique en matière de champs électromagnétiques.
Les associations, au plan européen, demandent la limitation de ces champs à 0,6 volt par mètre alors que la norme des opérateurs se situe, en général, autour de 40 volts.