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Comment désactiver le wifi ?

Comment désactiver le Wifi (Wi-Fi) chez soi :

Par défaut, la plupart des "box" ADSL ont l'option wifi activée, source permanente (*) d'émission "type téléphonie mobile" dont la toxicité a été prouvée scientifiquement. (**)

Celui-ci est toxique non seulement pour votre bébé, pour vous et pour votre entourage, y compris vos voisins !

Voici comment désactiver le Wifi pour s'en protéger et ne plus en faire "profiter" ses voisins !

(*) Un Wifi non-désactivé émet en permanence, que l'ordinateur soit allumé/connecté ou pas.
(**) Les ondes du wifi sont des hyperfréquences (micro-ondes) pulsées en extrêmement basses fréquences (ELF) du type téléphonie mobile dont la nocivité a été démontrée notamment par le rapport scientifique Bioinitiative.


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"Ondes électromagnétiques : l'évaluation de l'Anses n'arrive-t-elle pas trop tard ?" - Actu-environnement - 15/10/2013



"Ondes électromagnétiques : l'évaluation de l'Anses n'arrive-t-elle pas trop tard ?" - Actu-environnement - 15/10/2013
L'Anses actualise son avis de 2009 sur l'impact sanitaire des radiofréquences sans y apporter de réelles modifications. L'agence semble dépassée par le déploiement rapide des technologies qui vide de leur substance certaines de ses recommandations.


"Ondes électromagnétiques : l'évaluation de l'Anses n'arrive-t-elle pas trop tard ?" - Actu-environnement - 15/10/2013
"Compte tenu [des nouveaux éléments pris en compte], il n'apparaît pas fondé, sur une base sanitaire, de proposer de nouvelles valeurs limites d'exposition [aux radiofréquences] pour la population générale", estime l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), ce mardi 15 octobre, à l'occasion de la mise à jour de l'évaluation des risques liés à l'exposition aux radiofréquences. Si cette actualisation n'apporte pas de grand changement par rapport à celle de 2009, l'Anses maintient néanmoins son message de prudence, notamment concernant les populations à risques, telles que les utilisateurs intensifs et les enfants.

Ce nouvel avis s'appuie sur les travaux d'un groupe d'experts des divers sujets évalués chapoté par un comité ad hoc composé de 16 membres. Un millier de nouvelles études ont été identifiées, mais 360 ont été effectivement retenues pour cette nouvelle évaluation qui a mobilisé l'agence pendant deux ans.

Rien de bien nouveau

"Cette actualisation ne met pas en évidence d'effet sanitaire avéré et ne conduit pas à proposer de nouvelles valeurs limites d'exposition de la population", considère l'Anses, ajoutant qu'"elle pointe toutefois, avec des niveaux de preuve limités, différents effets biologiques chez l'Homme ou chez l'animal".

S'il n'y a pas d'effets sanitaires avérés, "certaines publications évoquent néanmoins une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables". Des résultats "en cohérence" avec le classement des radiofréquences comme "cancérogène possible" pour les utilisateurs intensifs, proposé en juin 2011 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Qu'est-ce qu'un "utilisateur intensif" ? Quel est le "long terme" considéré ? Pour l'Anses, il s'agit d'une personne utilisant quotidiennement et plus de 30 minutes par jour un téléphone mobile pour passer ou recevoir des appels (un usage à distinguer de l'envoi de messages écrits) et cela pendant 20 à 25 ans. Bref, il s'agît d'"utilisateurs réguliers", selon Marc Mortureux, le directeur de l'Anses. Une population particulièrement difficile à cerner, avoue l'Anses, admettant n'avoir que peu d'informations sur les profils d'utilisation…

Quant aux effets biologiques chez l'Homme ou chez l'animal, l'agence pointe notamment les troubles du sommeil, de la fertilité mâle ou encore des performances cognitives. Elle se veut cependant rassurante. Tout d'abord, on ne dispose que de "niveaux de preuve limités". Ensuite, ces effets seraient bénins puisqu'il s'agit "[de] changements généralement réversibles". Enfin, pour les caractériser, l'agence les compare "aux différents stimuli de la vie quotidienne".

Rappel des recommandations de l'Anses

En conséquence, les recommandations de l'agence n'évoluent pas sensiblement. Pour les adultes utilisateurs intensifs, elle suggère de recourir au kit main-libre. Pour l'ensemble des utilisateurs, elle recommande de privilégier l'usage de téléphones affichant le débit d'absorption spécifique (DAS) le plus faible. Du côté des enfants, elle estime qu'il convient de réduire leur exposition "en incitant à un usage modéré du téléphone mobile".

En matière d'exposition du public, l'agence appelle à "poursuivre l'amélioration" de sa caractérisation dans les environnements extérieurs et intérieurs par la mise en œuvre de campagnes de mesures. De même, le développement des nouvelles infrastructures de réseaux de téléphonie mobile devrait faire "l'objet d'études préalables en matière de caractérisation des expositions". Même chose pour les conséquences d'une éventuelle multiplication du nombre d'antennes-relais dans le but de réduire les niveaux d'exposition.

A cela s'ajoute l'habituelle "série de recommandations de recherche" destinée au monde scientifique. A noter que, parmi les pistes de recherche avancées, l'Anses pointe la nécessité d'étudier les liens entre l'usage du téléphone portable, d'une part, et le stress et l'addiction, d'autre part, tout particulièrement en milieu professionnel. La question de l'électro-hypersensibilité fera, quant à elle, l'objet d'une expertise spécifique qui démarrera dès la fin de cette année.

L'Anses est-elle écoutée ?

Reste que la lecture des conclusions de l'Anses pousse à s'interroger sur les suites que donneront les pouvoirs publics à ce rapport. L'agence s'inquiète de l'impact du développement des nouveaux terminaux, tels que les tablettes connectées ? La technologie est déjà largement utilisée. L'Anses assure que "l'apparition de la 4G, en plus de la 2G et de la 3G, va conduire à une augmentation des expositions" et juge nécessaire la réalisation d'"études préalables" au développement des réseaux.Las, la recommandation arrive bien tardivement puisque le déploiement de la 4G est déjà bien avancé.

Et pourtant, les mises en garde ne manquent pas, notamment concernant "un changement permanent des signaux radioélectriques utilisés et de la nature des terminaux de communication" ou "l'augmentation du nombre d'utilisateurs et des types d'usage". Une situation qui "conduit à une évolution rapide de l'exposition aux radiofréquences et à son accroissement potentiel", alerte à demi-mot l'Anses.

"On est clairement dans une phase de développement commerciale" de ces technologies, constate avec un certain embarras le directeur général de l'Anses. Une situation qui "fait des Français des cobayes", selon Etienne Cendrier, porte-parole de Robin des Toits. Une interpellation inhabituelle à laquelle l'Anses préfère ne pas répondre. En l'occurrence, ce silence est plus éloquent que les quelque 400 pages du rapport…

Philippe Collet

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Source : http://www.actu-environnement.com/ae/news/anses-avis-radiofrequence-2013-4G-utilisateur-intensif-19715.php4

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