Danger téléphone portable et antenne relais, danger wifi pour la santé, dangers téléphone sans-fil DECT (cancer du cerveau...)
ADHESIONS et DONS
en ligne ou par courrier

Mises en cause de l'expertise officielle sur les dangers de la téléphonie mobile

PETITIONS A SIGNER

Soutenez les pétitions contre les antennes-relais.

Pétition pour des lieux de Vie sans ondes.


Récapitulatif du danger
de la téléphonie mobile et du Wi-fi

Comment désactiver le wifi ?

Comment désactiver le Wifi (Wi-Fi) chez soi :

Par défaut, la plupart des "box" ADSL ont l'option wifi activée, source permanente (*) d'émission "type téléphonie mobile" dont la toxicité a été prouvée scientifiquement. (**)

Celui-ci est toxique non seulement pour votre bébé, pour vous et pour votre entourage, y compris vos voisins !

Voici comment désactiver le Wifi pour s'en protéger et ne plus en faire "profiter" ses voisins !

(*) Un Wifi non-désactivé émet en permanence, que l'ordinateur soit allumé/connecté ou pas.
(**) Les ondes du wifi sont des hyperfréquences (micro-ondes) pulsées en extrêmement basses fréquences (ELF) du type téléphonie mobile dont la nocivité a été démontrée notamment par le rapport scientifique Bioinitiative.


Les preuves du danger pour la santé du portable, Wi-fi, Bluetooth, DECT...


Top 5 requêtes

 1. Danger portable (cancer cerveau)

 2. Danger Wi-fi bébé et foetus / Babyphone ondes danger

 3. Danger portable dans la poche

 4. Danger portable enfant

 5. Portable santé

"Le Pr Belpomme avance avoir trouvé les critères biologiques permettant de diagnostiquer l'électrosensibilité" - Agence de Presse Médicale - 06/01/2015



"Le Pr Belpomme avance avoir trouvé les critères biologiques permettant de diagnostiquer l'électrosensibilité" - Agence de Presse Médicale - 06/01/2015
PARIS, 6 janvier 2015 (APM) - Le Pr Dominique Belpomme et ses collègues avancent avoir trouvé les critères biologiques permettant de diagnostiquer une électrosensibilité, sur la base d'une étude publiée dans Reviews on Environmental Health et relayée mercredi par l'association Robin des Toits.

Dans le passé, certaines affirmations du Pr Belpomme, notamment sur les pesticides, ont été contestées, rappelle-t-on (cf APM RLKK8003).

L'étude publiée en décembre dans Reviews of environnemental Health a été financée par l'association qu'il a fondée et qu'il préside: l'Association pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse (Artac). Il est également premier auteur de cet article.

Selon son éditeur, De Gruyter, le trimestriel Reviews of Environnemental Health ne s'était pas vu attribuer d'Impact Factor par Thomson Reuters Journal Citation Reports en 2014, contrairement à 144 autres revues du groupe éditorial, note-t-on.

Afin de savoir si l'électrohypersensibilité et la sensibilité chimique multiple (SCM) pouvaient être identifiées par des critères cliniques et des marqueurs biologiques objectifs, Dominique Belpomme et ses confrères indiquent suivre depuis 2009 1.216 personnes souffrant d'électrosensibilité ou de SCM. Les auteurs précisent s'être concentrés sur l'histamine parce qu'elle est un "médiateur de l'inflammation", processus "entraîné par les champs électromagnétiques" et les substances chimiques.

Selon l'analyse qui porte sur 727 personnes (521 électrosensibles et 52 personnes atteintes de SCM), 40% des patients inclus présentent une histaminémie anormalement élevée, signe d'une inflammation chronique. De fait, la majorité des patients inclus (60%) ne présentaient pas d'hyperhistaminémie, note-t-on.

L'équipe explique également que chez ces malades, la barrière hémato-encéphalique est "ouverte", sur la base de valeurs excessives de nitrotyrosine chez 28% des participants ainsi que de la protéine S100B chez 15% des patients seulement.

Par ailleurs, le Pr Belpomme rapporte un déficit en mélatonine chez tous les participants examinés. De plus, à l'appui d'anticorps O-myéline circulants détectés chez 23% du groupe examiné, les auteurs affirment que ces syndromes sont associés "à la réponse auto-immunitaire".

"En utilisant la batterie de biomarqueurs que nous avons investigués dans cette étude, il est désormais possible de caractériser objectivement et d'identifier l'électrosensibilité et la sensibilité chimique multiple", déclarent les trois auteurs en conclusion.

(Reviews on Environmental Health, n°30 vol.4, p251-71)

---
Source : http://www.apmnews.com/accueil.php

---
Voir également :

-VIDEO - Ondes : une étude établit la causalité pour l'électrosensibilité ! - Robin des Toits - 06/01/2015

Lu 3065 fois

Dans la même rubrique :
1 2 3 4 5 » ... 7

Informations scientifiques | Autres documents | Réseau EHS | Presse, radio et TV | l'EHS à l'international