Source : http://www.next-up.org/divers/images_x44.php
Le 31 mai 2006, peu après 10h, plus d’une cinquantaine des 760 élèves du collège Marc Seignobos à Chabeuil (France) a subi des malaises et des évanouissements, dont 17 ont été hospitalisés.
Après le déclenchement du plan rouge, les médecins urgentistes avec l’appui du Samu et de 85 pompiers présents sur les lieux ne s’expliquent pas cet incident sanitaire majeur.
Les analyses de l’air et de l’eau, ainsi que les analyses de sang et d’urine se sont révélées négatives.
Dans un communiqué officiel du 1 er juin 2006, la DASS stipulait :
“L’enquête exploratoire auprès des 4 premiers cas n’a pas permis de retenir une cause particulière.
[Les autres cas] après examen clinique, ont été considérés comme très probablement d’origine psychologique (…).”
Une enquête indépendante réalisée sur place a constaté que le collège était en cours de “bunkerisation” au moyen de grilles métalliques pour lutter contre le vandalisme et que le collège était exactement situé dans l’axe principal du faisceau, non pas d’une, mais de deux antennes relais, pour lesquelles les autorisations techniques et sanitaires n’ont toujours pas encore été communiquées par les autorités.
De plus, l’enquête épidémiologique préparatoire sur un échantillon aléatoire de victimes a révélé qu’elles sont toutes domiciliées à proximité d’une ligne à Très Haute Tension (THT) de 400 000 volts ou d’un poste de transformation électrique moyenne/basse tension.
“Ces collégiens, exposés à domicile aux basses fréquences de l’électricité, ont développé à leur insu une électro-hypersensibilité (EHS) latente qui s’est révélée le jour où leur collège a été transformé en ‘cage de Faraday inversée’ par une conjonction d’éléments.”
La conjonction des basses fréquences (50 hertz) et des micro-ondes de la téléphonie mobile ont généré un nouveau phénomène appelé VASEM ( Variations Spatiales Electro Magnétiques).
Le Dossier de l'enquête in situ du Collège Marc Seignobos de Chabeuil France.
- Explications concernant la VASEM (VAriation Spatiale ElectroMagnétique) -
Le rapport préliminaire de Next-up organisation sur cet événement est achevé, mais sa publication est subordonnée aux communications des autorisations administratives techniques et sanitaires, qui font malheureusement toujours défaut à ce jour.
L’incident du collège de Chabeuil de par son ampleur est une expérience grandeur nature qui appelle de nombreux développements d’études épidémiologiques.
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Lire également : Lettre du Criirem au Minsitre de la Santé au sujet des CEM des antennes-relais exposant les enfants d'un collège de Chabeuil - 23/06/2006
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PJ :
- "Drôme de Drame", article du Canard Enchaîné du 05/07/2006
Le 31 mai 2006, peu après 10h, plus d’une cinquantaine des 760 élèves du collège Marc Seignobos à Chabeuil (France) a subi des malaises et des évanouissements, dont 17 ont été hospitalisés.
Après le déclenchement du plan rouge, les médecins urgentistes avec l’appui du Samu et de 85 pompiers présents sur les lieux ne s’expliquent pas cet incident sanitaire majeur.
Les analyses de l’air et de l’eau, ainsi que les analyses de sang et d’urine se sont révélées négatives.
Dans un communiqué officiel du 1 er juin 2006, la DASS stipulait :
“L’enquête exploratoire auprès des 4 premiers cas n’a pas permis de retenir une cause particulière.
[Les autres cas] après examen clinique, ont été considérés comme très probablement d’origine psychologique (…).”
Une enquête indépendante réalisée sur place a constaté que le collège était en cours de “bunkerisation” au moyen de grilles métalliques pour lutter contre le vandalisme et que le collège était exactement situé dans l’axe principal du faisceau, non pas d’une, mais de deux antennes relais, pour lesquelles les autorisations techniques et sanitaires n’ont toujours pas encore été communiquées par les autorités.
De plus, l’enquête épidémiologique préparatoire sur un échantillon aléatoire de victimes a révélé qu’elles sont toutes domiciliées à proximité d’une ligne à Très Haute Tension (THT) de 400 000 volts ou d’un poste de transformation électrique moyenne/basse tension.
“Ces collégiens, exposés à domicile aux basses fréquences de l’électricité, ont développé à leur insu une électro-hypersensibilité (EHS) latente qui s’est révélée le jour où leur collège a été transformé en ‘cage de Faraday inversée’ par une conjonction d’éléments.”
La conjonction des basses fréquences (50 hertz) et des micro-ondes de la téléphonie mobile ont généré un nouveau phénomène appelé VASEM ( Variations Spatiales Electro Magnétiques).
Le Dossier de l'enquête in situ du Collège Marc Seignobos de Chabeuil France.
- Explications concernant la VASEM (VAriation Spatiale ElectroMagnétique) -
Le rapport préliminaire de Next-up organisation sur cet événement est achevé, mais sa publication est subordonnée aux communications des autorisations administratives techniques et sanitaires, qui font malheureusement toujours défaut à ce jour.
L’incident du collège de Chabeuil de par son ampleur est une expérience grandeur nature qui appelle de nombreux développements d’études épidémiologiques.
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Lire également : Lettre du Criirem au Minsitre de la Santé au sujet des CEM des antennes-relais exposant les enfants d'un collège de Chabeuil - 23/06/2006
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PJ :
- "Drôme de Drame", article du Canard Enchaîné du 05/07/2006