The Independent relaie depuis plusieurs semaines les décisions d’un certain nombre d’autorités régionales britanniques de suspendre, suite aux déclarations du Professeur Stewart sur la nécessité d’étudier les effets du WiFi sur la santé des élèves et des professeurs le plus rapidement possible, le développement du WiFi dans les établissements scolaires.
Les anglais ne sont pas les seuls à s’inquiéter du développement, sans la moindre étude d’impact sanitaire, d’une technologie qui utilise les mêmes fréquences que les fours à micro-ondes et qui correspondent, de fait, à de petites stations de base de radiofréquences installées à l’intérieur des maisons et des écoles. Le Gouvernement de la province de Salzbourg en Autriche a demandé d’attendre 18 mois avant d’installer le WiFi et s’oriente vers un bannissement définitif de cette technologie du sans fil. Il faut souligner que, selon The Independent, l’association des médecins autrichiens qui avaient déjà, il y a quelques mois, mis en garde contre un usage inconsidéré du portable, lutte aujourd’hui contre le déploiement du WiFi dans les écoles.
Au mois de mars, c’est le Parlement de Bavière qui a recommandé qu’aucune école n’utilise cette technologie, suivant là, avec quelques mois de retard, une initiative identique prise par la ville de Francfort.
En France également, le WiFi s’installe dans les écoles, collèges, lycées et autres lieux publics fréquentés par les jeunes tels que les bibliothèques, sans qu’aucune étude d’impact sanitaire préalable n’ait été réalisée. Une fois de plus au nom du progrès technologique, le prix social aussi bien qu’individuel de la santé passe par pertes et profits. Mieux, on vante aujourd’hui le lancement du portable qui puisse également utiliser la fréquence du WiFi. Ce développement se réalise sans la moindre réaction du Ministère de la santé.
Priartem et Agir pour l’environnement demandent l’arrêt immédiat du programme d’implantation du WiFi dans les établissements scolaires, une information grand public sur les interrogations actuelles sur les risques sanitaires qui pourraient être liés à cette technologie et le lancement d’études d’impact. Elles espèrent que les contacts qui viennent d’être pris avec le Ministère de la santé déboucheront sur des actions des pouvoirs publics allant dans ce sens.
En attendant, elles invitent les parents d’élèves à agir pour que le WiFi ne soit pas installé dans l’établissement scolaire de leur enfant ou, que si l’installation est déjà réalisée, la connexion filaire soit aujourd’hui privilégiée.
CONTACT PRESSE
Janine Le Calvez - Présidente de Priartém : 0145345243
Stéphen Kerckhove - Délégué général d'Agir pour l'Environnement : 0140310299
--
Source : http://www.agirpourlenvironnement.org/presse/electromedia170.htm
Les anglais ne sont pas les seuls à s’inquiéter du développement, sans la moindre étude d’impact sanitaire, d’une technologie qui utilise les mêmes fréquences que les fours à micro-ondes et qui correspondent, de fait, à de petites stations de base de radiofréquences installées à l’intérieur des maisons et des écoles. Le Gouvernement de la province de Salzbourg en Autriche a demandé d’attendre 18 mois avant d’installer le WiFi et s’oriente vers un bannissement définitif de cette technologie du sans fil. Il faut souligner que, selon The Independent, l’association des médecins autrichiens qui avaient déjà, il y a quelques mois, mis en garde contre un usage inconsidéré du portable, lutte aujourd’hui contre le déploiement du WiFi dans les écoles.
Au mois de mars, c’est le Parlement de Bavière qui a recommandé qu’aucune école n’utilise cette technologie, suivant là, avec quelques mois de retard, une initiative identique prise par la ville de Francfort.
En France également, le WiFi s’installe dans les écoles, collèges, lycées et autres lieux publics fréquentés par les jeunes tels que les bibliothèques, sans qu’aucune étude d’impact sanitaire préalable n’ait été réalisée. Une fois de plus au nom du progrès technologique, le prix social aussi bien qu’individuel de la santé passe par pertes et profits. Mieux, on vante aujourd’hui le lancement du portable qui puisse également utiliser la fréquence du WiFi. Ce développement se réalise sans la moindre réaction du Ministère de la santé.
Priartem et Agir pour l’environnement demandent l’arrêt immédiat du programme d’implantation du WiFi dans les établissements scolaires, une information grand public sur les interrogations actuelles sur les risques sanitaires qui pourraient être liés à cette technologie et le lancement d’études d’impact. Elles espèrent que les contacts qui viennent d’être pris avec le Ministère de la santé déboucheront sur des actions des pouvoirs publics allant dans ce sens.
En attendant, elles invitent les parents d’élèves à agir pour que le WiFi ne soit pas installé dans l’établissement scolaire de leur enfant ou, que si l’installation est déjà réalisée, la connexion filaire soit aujourd’hui privilégiée.
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Janine Le Calvez - Présidente de Priartém : 0145345243
Stéphen Kerckhove - Délégué général d'Agir pour l'Environnement : 0140310299
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Source : http://www.agirpourlenvironnement.org/presse/electromedia170.htm