Face aux dangers sur la santé que représente la prolifération des antennes relais, les écologistes demandent à Anne Hidalgo de clarifier sa position.
Les dangers sanitaires de la prolifération des antennes relais, utilisées par les opérateurs téléphoniques, sont chaque jour confirmées par de nouvelles études scientifiques. La loi portée par la députée EE-LV Laurence Abeille a posé le principe de « modération des ondes électro magnétiques ». C’est un premier pas.
A Paris pourtant, la charte entre la Mairie, les associations et les opérateurs, mise en place en décembre 2012, n’est pas respectée. Les réunions se déroulent en l’absence des associations spécialisées (Priartem, Robins des toits et Agir pour l’environnement), qui indiquent « qu’il n’y a plus rien à discuter dans ces réunions, tous les dossiers passent ». Dans le seul 11ème arrondissement, plusieurs collectifs de citoyennes et de citoyens, inquiets de voir installer des antennes relais à proximité des crèches et des écoles, se mobilisent. Sans succès pour l’instant.
L’inquiétude des habitant-es et les risques sur notre santé ne semblent pas peser lourd pour la candidate socialiste face aux intérêts économiques des entreprises de téléphonie. Avec Jean-Louis Missika, à la fois directeur de campagne de la candidate socialiste et ancien vice-Président de Illiad, qui possède l’opérateur Free créé par Xavier Niel, il faut dire que les intérêts des opérateurs téléphoniques sont bien représentés dans l’équipe municipale sortante. Anne Hidalgo veut-elle être une élue qui préserve la santé des parisiennes et des parisiens ou la porte-parole aveugle d’opérateurs téléphoniques en quête de rentabilité ? Peut-être encore conserver Jean-Louis Missika à un son poste de directeur de campagne ?
Les écologistes demandent à la candidate socialiste de clarifier sa position sur les antennes relais autour de plusieurs points clés :
- un moratoire sur l’installation des nouvelles antennes relais
- l’objectif de tendre vers le seuil de 0,6 V/m
- la négociation d’une nouvelle charte
- la gestion prioritaire des cas potentiellement les plus dangereux
Pour connaître les positions d’EE-LV Paris, Joelle Morel, tête de liste EE-LV dans le 11ème arrondissement, et Christophe Najdovski (sous réserves) vous donnent rendez-vous le samedi 8 mars à 17 h 30 à l’angle de la rue Oberkampf et du square Jean Aicard ( métro rue Saint Maur ou Ménilmontant) pour un rassemblement avec la coordination des collectifs et habitant-es du 11ème arrondissement mobilisés contre la prolifération des antennes relais pour leur santé et celle de leurs enfants.
Les dangers sanitaires de la prolifération des antennes relais, utilisées par les opérateurs téléphoniques, sont chaque jour confirmées par de nouvelles études scientifiques. La loi portée par la députée EE-LV Laurence Abeille a posé le principe de « modération des ondes électro magnétiques ». C’est un premier pas.
A Paris pourtant, la charte entre la Mairie, les associations et les opérateurs, mise en place en décembre 2012, n’est pas respectée. Les réunions se déroulent en l’absence des associations spécialisées (Priartem, Robins des toits et Agir pour l’environnement), qui indiquent « qu’il n’y a plus rien à discuter dans ces réunions, tous les dossiers passent ». Dans le seul 11ème arrondissement, plusieurs collectifs de citoyennes et de citoyens, inquiets de voir installer des antennes relais à proximité des crèches et des écoles, se mobilisent. Sans succès pour l’instant.
L’inquiétude des habitant-es et les risques sur notre santé ne semblent pas peser lourd pour la candidate socialiste face aux intérêts économiques des entreprises de téléphonie. Avec Jean-Louis Missika, à la fois directeur de campagne de la candidate socialiste et ancien vice-Président de Illiad, qui possède l’opérateur Free créé par Xavier Niel, il faut dire que les intérêts des opérateurs téléphoniques sont bien représentés dans l’équipe municipale sortante. Anne Hidalgo veut-elle être une élue qui préserve la santé des parisiennes et des parisiens ou la porte-parole aveugle d’opérateurs téléphoniques en quête de rentabilité ? Peut-être encore conserver Jean-Louis Missika à un son poste de directeur de campagne ?
Les écologistes demandent à la candidate socialiste de clarifier sa position sur les antennes relais autour de plusieurs points clés :
- un moratoire sur l’installation des nouvelles antennes relais
- l’objectif de tendre vers le seuil de 0,6 V/m
- la négociation d’une nouvelle charte
- la gestion prioritaire des cas potentiellement les plus dangereux
Pour connaître les positions d’EE-LV Paris, Joelle Morel, tête de liste EE-LV dans le 11ème arrondissement, et Christophe Najdovski (sous réserves) vous donnent rendez-vous le samedi 8 mars à 17 h 30 à l’angle de la rue Oberkampf et du square Jean Aicard ( métro rue Saint Maur ou Ménilmontant) pour un rassemblement avec la coordination des collectifs et habitant-es du 11ème arrondissement mobilisés contre la prolifération des antennes relais pour leur santé et celle de leurs enfants.