Le Comité Economique et Social Européen (CESE / EESC), suite à une audition publique du 4 Novembre dernier réunissant les différentes parties - dont l’association Biosustainable Design (Royaume-Uni) et Robin des Toits qui représentait plusieurs associations Européennes et associations d'Electro-HyperSensibles comme Une Terre pour les EHS, ainsi que le Professeur Johansson du Karolinska Institute -, a proposé à la Commission Européenne certaines modifications législatives. Une première !
Modifier les normes d’exposition du public pour préserver la santé des personnes et protéger l’environnement : appliquer le principe d’exposition minimum (ALARA) : le rayonnement électromagnétique doit être maintenu à un niveau aussi faible qu’il est possible.
En effet, le principe de précaution doit s’appliquer dans un contexte où la population, notamment les jeunes et les enfants, est de plus en plus exposée alors que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a défini ces rayonnements électromagnétiques comme « cancérigènes possibles » (Groupe 2B).
Le Comité Economique et Social Européen propose de promouvoir toutes les techniques alternatives aux antennes, portables, etc., tous dispositifs permettant de protéger la santé et l’environnement qui soient tout aussi efficaces que ceux actuellement utilisés mais présentant moins d’effets négatifs sur le plan sanitaire et environnemental.
Le Comité Economique et Social Européen demande à la Commission Européenne de reconnaître l’électro-hypersensibilité comme une pathologie découlant d’un syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques et de prévoir des mesures spécifiques pour protéger les électro-hypersensibles, notamment en créant des zones blanches, mais aussi en procédant à l’étiquetage des produits sans-fil pour
alerter le public sur les dangers inhérents à ce type de technologies.
A cet effet, il est proposé des campagnes d’information sur les risques d’effets biologiques nocifs à long terme ciblant de manière privilégiée les enfants, les adolescents et les jeunes en âge de procréer.
Le DECT (téléphone fixe sans-fil) et le WIFI, que la plupart des gens utilise, sont concernés par cette alerte.
L'avis d'initiative définitif du Comité Economique et Social Européen devrait faire date. Il permettra une réelle prise en compte de l'électro-hypersensibilité. Un début pour sortir les victimes du déni officiel ; commencer à les traiter décemment comme des êtres humains à part entière. Cet avis devrait demander à la Commission Européenne de protéger la santé publique des effets nocifs des technologies du sans-fil, notamment les enfants et les plus fragiles.
Contact Presse
Etienne CENDRIER
Porte-Parole national
Traduction anglaise de ce communiqué en pièce jointe
Modifier les normes d’exposition du public pour préserver la santé des personnes et protéger l’environnement : appliquer le principe d’exposition minimum (ALARA) : le rayonnement électromagnétique doit être maintenu à un niveau aussi faible qu’il est possible.
En effet, le principe de précaution doit s’appliquer dans un contexte où la population, notamment les jeunes et les enfants, est de plus en plus exposée alors que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a défini ces rayonnements électromagnétiques comme « cancérigènes possibles » (Groupe 2B).
Le Comité Economique et Social Européen propose de promouvoir toutes les techniques alternatives aux antennes, portables, etc., tous dispositifs permettant de protéger la santé et l’environnement qui soient tout aussi efficaces que ceux actuellement utilisés mais présentant moins d’effets négatifs sur le plan sanitaire et environnemental.
Le Comité Economique et Social Européen demande à la Commission Européenne de reconnaître l’électro-hypersensibilité comme une pathologie découlant d’un syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques et de prévoir des mesures spécifiques pour protéger les électro-hypersensibles, notamment en créant des zones blanches, mais aussi en procédant à l’étiquetage des produits sans-fil pour
alerter le public sur les dangers inhérents à ce type de technologies.
A cet effet, il est proposé des campagnes d’information sur les risques d’effets biologiques nocifs à long terme ciblant de manière privilégiée les enfants, les adolescents et les jeunes en âge de procréer.
Le DECT (téléphone fixe sans-fil) et le WIFI, que la plupart des gens utilise, sont concernés par cette alerte.
L'avis d'initiative définitif du Comité Economique et Social Européen devrait faire date. Il permettra une réelle prise en compte de l'électro-hypersensibilité. Un début pour sortir les victimes du déni officiel ; commencer à les traiter décemment comme des êtres humains à part entière. Cet avis devrait demander à la Commission Européenne de protéger la santé publique des effets nocifs des technologies du sans-fil, notamment les enfants et les plus fragiles.
Contact Presse
Etienne CENDRIER
Porte-Parole national
Traduction anglaise de ce communiqué en pièce jointe