Notre association, Robin des toits, a appris avec une grande tristesse le décès de Michèle Rivasi, eurodéputée et présidente de l’association Zones Blanches et est profondément touchée par la brutalité de son départ.
Elle était la grande figure de nombreux combats au niveau européen, notamment en ce qui nous concerne directement, les effets sanitaires des champs électromagnétiques. Elle restera dans nos têtes et dans nos cœurs comme une personne d’une grande rigueur, opiniâtre dans ses actions.
D'une grande clarté dans ses analyses et dans ses propositions, elle était l'une des très rares parmi les femmes et hommes politiques à avoir conscience des dégâts sanitaires provoqués par les ondes électromagnétiques artificielles, là où ce scandale sanitaire a toujours été dénié aussi bien par les industriels du secteur que par les hommes politiques, qu'ils tiennent ou non les rênes du pouvoir.
Déni de l'électro hypersensibilité (EHS) mais aussi de la cancérogénicité des ondes comme de l'ensemble des effets biologiques. Michèle Rivasi, en bonne scientifique s'est toujours attachée aux faits, dans une période très sombre pour la science dans tous les domaines.
En tant qu’eurodéputée, elle était un atout dans ce combat difficile. Merci à elle pour son intégrité et l'énergie mise dans ses actions contre les lobbys industriels, actions que nos associations partagent, chacune dans son domaine et avec ses propres objets.
Nous perdons une grande dame.
Nous ne l'oublierons pas.
Elle était la grande figure de nombreux combats au niveau européen, notamment en ce qui nous concerne directement, les effets sanitaires des champs électromagnétiques. Elle restera dans nos têtes et dans nos cœurs comme une personne d’une grande rigueur, opiniâtre dans ses actions.
D'une grande clarté dans ses analyses et dans ses propositions, elle était l'une des très rares parmi les femmes et hommes politiques à avoir conscience des dégâts sanitaires provoqués par les ondes électromagnétiques artificielles, là où ce scandale sanitaire a toujours été dénié aussi bien par les industriels du secteur que par les hommes politiques, qu'ils tiennent ou non les rênes du pouvoir.
Déni de l'électro hypersensibilité (EHS) mais aussi de la cancérogénicité des ondes comme de l'ensemble des effets biologiques. Michèle Rivasi, en bonne scientifique s'est toujours attachée aux faits, dans une période très sombre pour la science dans tous les domaines.
En tant qu’eurodéputée, elle était un atout dans ce combat difficile. Merci à elle pour son intégrité et l'énergie mise dans ses actions contre les lobbys industriels, actions que nos associations partagent, chacune dans son domaine et avec ses propres objets.
Nous perdons une grande dame.
Nous ne l'oublierons pas.