Une récente enquête du magazine en ligne Fakir:
https://www.fakirpresse.info/moi-journaliste-fantome-au-service-des-lobbies
pointe la rédaction de faux articles par le groupe Avisa Partners, visant à discréditer, et décribiliser des groupes d’opposants à certains choix technologiques ou sociétaux, imposés par le pouvoir en place ou certaines industries.
Avisa Partners est un groupe français de conseil spécialisé dans la cybersécurité, l’intelligence économique, l'investigation et les relations publiques. Son siège est situé à Paris et l'entreprise est présente dans sept autres pays.
En 2022, il est publiquement mis en cause par plusieurs enquêtes journalistiques, notamment dans le cadre des Uber Files, pour avoir manipulé des informations à grande échelle sur de nombreux médias en ligne ainsi que sur Wikipédia.
Enedis ferait partie de ces « donneurs d’ordre » pour une campagne de déstabilisation visant le mouvement Stop Linky et particulièrement Stéphane Lhomme. Ces publications falsifiées auraient servi également à intimider les 3,8 millions de foyers récalcitrants au capteur connecté vanté par Enedis.
Voir la publication de Stéphane: http://refus.linky.gazpar.free.fr/faux-articles-enedis-avisa.htm
Autre affaire croustillante: la mise au grand jour de certaines fonctionnalités du compteur Linky, que nous dénonçons depuis plus de 5 ans, et dont la mise en oeuvre ne sera guère à l’avantage des usagers, parmi lesquelles, la facturation dynamique que nous avons déjà évoquée dans cette fiche:
https://www.robindestoits.org/LES-FICHES-INFO-LINKY-16-Surconsommation-surfacturation-contrats_a3063.html
Il y a aussi les possibilités d’effacement, voire de coupure sans contrepartie pour passer les périodes de pointe ou de risque de pénurie électrique.
Sans oublier que ces nouvelles technologies supposées assurer notre sécurité et notre confort ( compteurs etc…) peuvent très bien devenir des outils de surveillance et de répression. Le risque qu'ils le deviennent effectivement est loin d'être nul et le Big Brother de Orwell est à portée de main.
Article de Stéphane sur ce sujet:
http://refus.linky.gazpar.free.fr/usage-totalitaire-linky.htm
Patrice Goyaud pour Robin des Toits
https://www.fakirpresse.info/moi-journaliste-fantome-au-service-des-lobbies
pointe la rédaction de faux articles par le groupe Avisa Partners, visant à discréditer, et décribiliser des groupes d’opposants à certains choix technologiques ou sociétaux, imposés par le pouvoir en place ou certaines industries.
Avisa Partners est un groupe français de conseil spécialisé dans la cybersécurité, l’intelligence économique, l'investigation et les relations publiques. Son siège est situé à Paris et l'entreprise est présente dans sept autres pays.
En 2022, il est publiquement mis en cause par plusieurs enquêtes journalistiques, notamment dans le cadre des Uber Files, pour avoir manipulé des informations à grande échelle sur de nombreux médias en ligne ainsi que sur Wikipédia.
Enedis ferait partie de ces « donneurs d’ordre » pour une campagne de déstabilisation visant le mouvement Stop Linky et particulièrement Stéphane Lhomme. Ces publications falsifiées auraient servi également à intimider les 3,8 millions de foyers récalcitrants au capteur connecté vanté par Enedis.
Voir la publication de Stéphane: http://refus.linky.gazpar.free.fr/faux-articles-enedis-avisa.htm
Autre affaire croustillante: la mise au grand jour de certaines fonctionnalités du compteur Linky, que nous dénonçons depuis plus de 5 ans, et dont la mise en oeuvre ne sera guère à l’avantage des usagers, parmi lesquelles, la facturation dynamique que nous avons déjà évoquée dans cette fiche:
https://www.robindestoits.org/LES-FICHES-INFO-LINKY-16-Surconsommation-surfacturation-contrats_a3063.html
Il y a aussi les possibilités d’effacement, voire de coupure sans contrepartie pour passer les périodes de pointe ou de risque de pénurie électrique.
Sans oublier que ces nouvelles technologies supposées assurer notre sécurité et notre confort ( compteurs etc…) peuvent très bien devenir des outils de surveillance et de répression. Le risque qu'ils le deviennent effectivement est loin d'être nul et le Big Brother de Orwell est à portée de main.
Article de Stéphane sur ce sujet:
http://refus.linky.gazpar.free.fr/usage-totalitaire-linky.htm
Patrice Goyaud pour Robin des Toits