Danger téléphone portable et antenne relais, danger wifi pour la santé, dangers téléphone sans-fil DECT (cancer du cerveau...)
ADHESIONS et DONS
en ligne ou par courrier

Mises en cause de l'expertise officielle sur les dangers de la téléphonie mobile

PETITIONS A SIGNER

Soutenez les pétitions contre les antennes-relais.

Pétition pour des lieux de Vie sans ondes.


Récapitulatif du danger
de la téléphonie mobile et du Wi-fi

Comment désactiver le wifi ?

Comment désactiver le Wifi (Wi-Fi) chez soi :

Par défaut, la plupart des "box" ADSL ont l'option wifi activée, source permanente (*) d'émission "type téléphonie mobile" dont la toxicité a été prouvée scientifiquement. (**)

Celui-ci est toxique non seulement pour votre bébé, pour vous et pour votre entourage, y compris vos voisins !

Voici comment désactiver le Wifi pour s'en protéger et ne plus en faire "profiter" ses voisins !

(*) Un Wifi non-désactivé émet en permanence, que l'ordinateur soit allumé/connecté ou pas.
(**) Les ondes du wifi sont des hyperfréquences (micro-ondes) pulsées en extrêmement basses fréquences (ELF) du type téléphonie mobile dont la nocivité a été démontrée notamment par le rapport scientifique Bioinitiative.


Les preuves du danger pour la santé du portable, Wi-fi, Bluetooth, DECT...


Top 5 requêtes

 1. Danger portable (cancer cerveau)

 2. Danger Wi-fi bébé et foetus / Babyphone ondes danger

 3. Danger portable dans la poche

 4. Danger portable enfant

 5. Portable santé

'Des villes-tests pour en finir avec les guéguerres locales sur les antennes-relais' - Le Monde - 17/09/2009



'Des villes-tests pour en finir avec les guéguerres locales sur les antennes-relais' - Le Monde - 17/09/2009
Le Grenelle des ondes, dont l'issue en mai avait déçu les associations de protection de l'environnement, vient néanmoins de satisfaire une de leurs demandes majeures : expérimenter une diminution de l'exposition aux radiofréquences des antennes relais de téléphonie mobile à 0,6 volt par mètre (contre 41 à 61V/m aujourd'hui). 0,6 V/m, le chiffre tant attendu par l'association Robin des toits et tant décrié par les opérateurs de téléphonie mobile sera étudié au même titre que toutes les valeurs "comprises entre 41 et 61V/m et une valeur basse de 0,1", comme le précise l'appel lancé vendredi 18 septembre par le comité opérationnel chargé de l'expérimentation. Ce comité rassemble les représentants de l'Etat, des élus, des associations et, des opérateurs sous la présidence du député socialiste François Brottes. La société civile dont la méfiance envers les ondes des antennes et des portables ne se dément pas, aura eu raison de la réticence des industriels, contraints de se plier à l'exercice.

Avant même son annonce officielle, plus d'une centaine de villes et villages se sont portés candidats à l'expérimentation. Mais "entre 10 et 20" seulement figureront parmi les heureux élus. Urbaines, pavillonnaires, semi-rurales ou rurales, ces zones - car l'expérimentation ne concernera pas des communes à part entière mais des "alvéoles" de diffusion des ondes - devront être "représentatives des situations existantes", souligne M. Brottes. La liste sera fixée fin novembre.

L'initiative est attendue avec impatience dans de nombreuses communes de gauche, de droite ou du centre, soucieuses de retrouver une certaine sérénité après des mois, voire des années de guéguerres locales.

A Tourcoing, l'idée du maire socialiste, Michel-François Delannoy, est de retrouver une certaine autorité dans un domaine où la décision municipale est contestée. L'arrêté municipal, voté à l'unanimité, fixant un moratoire d'un an dans l'installation de nouvelles antennes-relais, a en effet été retoqué par le préfet.

Comme son confrère du Nord, le maire (sans étiquette) de Grambois (Vaucluse), dont le petit territoire de 1 155 habitants est situé "sur le parc naturel du Lubéron", est en butte à des citoyens mécontents. Depuis, il cherche un arrangement honorable avec les opérateurs. Son objectif à lui est de signer un armistice acceptable par toutes les parties.

Commune emblématique s'il en est, Courbevoie, qui abrite une brassée de sièges sociaux dont celui de SFR, est aussi candidate. Son maire UMP, Jacques Kossosvski, est déterminé à faire prévaloir l'argument de santé publique sur toutes les autres considérations. Et depuis 2007, toutes ses décisions - dont le retrait du Wi-Fi dans les écoles ou l'interdiction d'installer une antenne Bouygues qui lui a valu une condamnation - vont dans ce sens. "A 0,6 V/M, il n'y a aucun danger. Au-dessus, on ne sait pas", plaide son adjoint aux nouvelles technologies, Michel Chambers. Les opérateurs contestent ? "Nous considérons que c'est un problème technique" qui leur échoit, conclut-il. Autrement dit, à chacun son métier.

Brigitte Perucca

---
Source : http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/09/17/des-villes-tests-pour-en-finir-avec-les-gueguerres-locales-sur-les-antennes-relais_1241730_3244.html

---
Voir également :

- Villes pilotes candidates au 0,6V/m !

- 'Guerre des ondes électromagnétiques : la bataille d'Hérouville' - Le Monde - 07/05/2009

- 'Grenelle des ondes : les antennes-relais en question - Interview et reportage vidéo' - La Gazette des Communes - 06/05/2009

- JT France 2 (13h) - 'Les dangers du WIFI' - 26/05/2008

Lu 2329 fois

Dans la même rubrique :
1 2 3 4 5 » ... 11

Télévision | Radio | Presse écrite | Internet | A l'international