Après 2 années de déploiement à marche forcée du compteur/capteur Linky par ENEDIS et ses bataillons de poseurs, force est de constater que ce soi disant “concentré de technologie” fait souvent l’objet d’articles évoquant les mésaventures vécues par des usagers ayant accepté ou subi son installation, malgré ce qui pourrait, ces derniers jours, ressembler à une grande campagne de publireportages.
Pourtant les pouvoirs publics soutiennent inconditionnellement le prétendu saut technologique (qui est loin d’être avéré) incarné par ce capteur Linky dont le déploiement est inscrit dans une certaine loi de transition dite écologique. D’ailleurs les autorités territoriales y participent cyniquement en attaquant sans état d’âme au Tribunal Administratif les élus soucieux de leurs administrés, qui osent braver le conformisme pro-Linky ambiant, en prenant des arrêtés restrictifs face à cet acharnement à vouloir imposer un objet connecté dans le sanctuaire de la vie privée que sont les logements.
C’est que l’enjeu est de taille: ce compteur capteur constitue l’arme absolue d’ENEDIS et de ses partenaires du monde industriel, adeptes du tout numérique, du Bigdata, de la récupération/traitement et revente des données personnelles à des fins commerciales, de surveillance de masse, et donc du contrôle des populations.
Y a t-il eu une consultation publique avant ce déploiement? Non !
Des études sanitaires ont elles été réalisées dans le domaine des fréquences du courant porteur ligne qui sont rayonnées dans les câbles électriques des habitations? Non !
Y a t-il eu une véritable étude technique portant sur les règles à respecter pour l’installation du capteur Linky dans un environnement domestique, et dans le respect des normes actuelles (NFC 14100, 15100)? Apparemment non, le souci majeur d’ENEDIS étant avant tout que ses prestataires aient toute latitude pour poser (imposer) un maximum de leurs bestioles connectées.
On sait aussi que ce que prétend faire ENEDIS avec les capteurs Linky, serait parfaitement réalisable avec des compteurs blancs électroniques, sauf pour des objectifs inavoués et inavouables.
Il faut aussi mettre l’accent sur la gabegie économique et écologique de ce saut technologie (plus de 5 milliards d’Euros pour ce déploiement), sans oublier que des millions de compteurs en bon état sont mis au rebut, sacrifiés sur l’autel d’un certain progrès, et remplacés par ces “bijoux de technologie” dont la durée de vie est bien plus courte.
Les “non au Linky”, qu'on tient à discréditer selon des techniques bien connues, ne sont pas absolument pas des complotistes adeptes du retour à la bougie ni des retraités désœuvrés en quête d’occupation Il s’agit avant tout de citoyens éclairés (sic !) et responsables, soucieux d'aider les usagers à prendre les décisions qui sont vraiment les meilleures pour eux.
De nombreux scientifiques, experts, ingénieurs se sont mobilisés pour dénoncer le manque de clarté et l’incohérence de ce projet, particulièrement au plan technique.
Pourtant les pouvoirs publics soutiennent inconditionnellement le prétendu saut technologique (qui est loin d’être avéré) incarné par ce capteur Linky dont le déploiement est inscrit dans une certaine loi de transition dite écologique. D’ailleurs les autorités territoriales y participent cyniquement en attaquant sans état d’âme au Tribunal Administratif les élus soucieux de leurs administrés, qui osent braver le conformisme pro-Linky ambiant, en prenant des arrêtés restrictifs face à cet acharnement à vouloir imposer un objet connecté dans le sanctuaire de la vie privée que sont les logements.
C’est que l’enjeu est de taille: ce compteur capteur constitue l’arme absolue d’ENEDIS et de ses partenaires du monde industriel, adeptes du tout numérique, du Bigdata, de la récupération/traitement et revente des données personnelles à des fins commerciales, de surveillance de masse, et donc du contrôle des populations.
Y a t-il eu une consultation publique avant ce déploiement? Non !
Des études sanitaires ont elles été réalisées dans le domaine des fréquences du courant porteur ligne qui sont rayonnées dans les câbles électriques des habitations? Non !
Y a t-il eu une véritable étude technique portant sur les règles à respecter pour l’installation du capteur Linky dans un environnement domestique, et dans le respect des normes actuelles (NFC 14100, 15100)? Apparemment non, le souci majeur d’ENEDIS étant avant tout que ses prestataires aient toute latitude pour poser (imposer) un maximum de leurs bestioles connectées.
On sait aussi que ce que prétend faire ENEDIS avec les capteurs Linky, serait parfaitement réalisable avec des compteurs blancs électroniques, sauf pour des objectifs inavoués et inavouables.
Il faut aussi mettre l’accent sur la gabegie économique et écologique de ce saut technologie (plus de 5 milliards d’Euros pour ce déploiement), sans oublier que des millions de compteurs en bon état sont mis au rebut, sacrifiés sur l’autel d’un certain progrès, et remplacés par ces “bijoux de technologie” dont la durée de vie est bien plus courte.
Les “non au Linky”, qu'on tient à discréditer selon des techniques bien connues, ne sont pas absolument pas des complotistes adeptes du retour à la bougie ni des retraités désœuvrés en quête d’occupation Il s’agit avant tout de citoyens éclairés (sic !) et responsables, soucieux d'aider les usagers à prendre les décisions qui sont vraiment les meilleures pour eux.
De nombreux scientifiques, experts, ingénieurs se sont mobilisés pour dénoncer le manque de clarté et l’incohérence de ce projet, particulièrement au plan technique.
Rendons hommage à ces groupes de citoyens, qui dans leurs communes respectives et leurs régions donnent de leur temps et de leur énergie face au Goliath de l’électricité.
Dans certaines agglomérations, le déploiement, même incomplet va être considéré comme achevé. Pour autant, le travail de ces groupes de citoyens n’est pas terminé, car s’ouvre alors l’ère post Linky avec les conséquences d’installations hasardeuses, problèmes qui se déclareront encore bien plus nombreux avec le temps (surconsommation, surfacturation, incidents, incendies, électrohypersensibilté , …)
Agissons tous pour ne pas subir un futur sans avenir !
Robin des Toits