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Comment désactiver le Wifi (Wi-Fi) chez soi :

Par défaut, la plupart des "box" ADSL ont l'option wifi activée, source permanente (*) d'émission "type téléphonie mobile" dont la toxicité a été prouvée scientifiquement. (**)

Celui-ci est toxique non seulement pour votre bébé, pour vous et pour votre entourage, y compris vos voisins !

Voici comment désactiver le Wifi pour s'en protéger et ne plus en faire "profiter" ses voisins !

(*) Un Wifi non-désactivé émet en permanence, que l'ordinateur soit allumé/connecté ou pas.
(**) Les ondes du wifi sont des hyperfréquences (micro-ondes) pulsées en extrêmement basses fréquences (ELF) du type téléphonie mobile dont la nocivité a été démontrée notamment par le rapport scientifique Bioinitiative.


Les preuves du danger pour la santé du portable, Wi-fi, Bluetooth, DECT...


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Dr Neil Cherry : 'Critique de l’évaluation pour la santé figurant dans les directives de l’ICNIRP pour les fréquences radio et les micro-ondes' - 01/05/2000

par Neil Cherry, Lincoln University.



"Critique de l’évaluation pour la santé figurant dans les directives de l’ICNIRP (*) , pour les fréquences radio et les micro-ondes. (100 kHz – 300 GHz)", par Neil Cherry (01/05/2000) :

(*) ICNIRP : Commission Internationale pour la Protection contre les Rayonnements Non-Ionisants
(International Commission for Non-Ionizing Radiation Protection)


RESUME :
Dans cette publication l’auteur reprend toutes les données et publications utilisée par l’ICNIRP en 1998 pour établir les normes de protection contre les radiofréquences/micro-ondes qui ont été ensuite reprises par l’OMS puis par de nombreux gouvernements comme en Europe.

L’auteur rappelle et démontre que, malgré les preuves existantes dès l’année 2000, seuls les effets thermiques ont été pris en compte, de même l’approche de l’ICNIRP et les présomptions faites sont scientifiquement très contestées dans ce rapport.

Le nombre de publications analysées dans cette étude est très important et permet à l’auteur de démontrer les effets biologiques et cancérigènes des champs électromagnétiques/micro-ondes, ce qui l’amène à proposer une dose maximale d’exposition au public ainsi que les moyens à utiliser pour ne pas dépasser cette dose maximum.

1/ Contexte de cette critique :

Il existe une forte pression de la part de l’OMS et de l’ICNIRP afin d’harmoniser les normes d’exposition nationales aux RF/MW [2] pour que les Etats adoptent les directives de l’ICNIRP. Ceci serait une bonne chose si les directives de l’ICNIRP étaient fixées à un niveau d’exposition qui fournirait une protection valable pour la santé publique. Les preuves présentées ici montrent que le niveau d’exposition des directives de l’ICNIRP est fixé trop haut, de plusieurs degrés de grandeur, pour accomplir cette tâche. Ce niveau est basé sur le point de vue préconçu, et qui est maintenu depuis longtemps par les autorités gouvernementales occidentales, que le seul fait et le seul établi de l’exposition aux RF/MW est l’échauffement des tissus. Cela fait référence ici à ce que l’on appelle le point de vue des RF-thermiques. Ce point de vue a été maintenu de façon intransigeante face aux preuves convaincantes de laboratoires et d’épidémiologie d’effets contraires pour la santé qu’aurait eu un produit chimique déclaré carcinogène [3] , neuropathogène , cardiogène et tératogène [4] pour les humains, il y a plusieurs années passées.

 

Cette critique fut écrite à l’origine, lorsque les ministères de la Santé et de l’Environnement, en Nouvelle-Zélande, proposèrent d’adopter les directives de l’ICNIRP comme normes, pour la santé publique, des expositions aux sites des relais cellulaires. Au même moment, le comité des normes RF de Nouvelle-Zélande proposait d’employer les directives de l’ICNIRP comme normes RF/MW de Nouvelle-Zélande. L’ICNIRP est la commission internationale pour la protection des radiations non-ionisantes. Les directives RF/MW de l’ICNIRP et l’analyse scientifique fut publiée dans Health Physics [5] , volume 74 (4) : 494-522, 1998. Ceci est la première source de documents qui servit pour cette critique et il y sera fait référence comme ICNIRP (1998).

 

L’analyse des effets, faite par l’ICNIRP (1998), a été revue (révisée) en opposition entre la littérature de la recherche citée et d’autres recherches publiées. Il fut découvert que l’approche de base (manière d’aborder le sujet) de l’ICNIRP et son traitement de la recherche scientifique possèdent de sérieux défauts. L’évaluation (analyse) de l’ICNIRP dénote une  détermination à maintenir le point de vue thermique des RF et elle rejette ou omet toutes les preuves qui entrent en conflit avec ce point de vue. Ceci peut être appelé « le rejet constructif » pour un concept préconçu qui est employé pour rejeter de façon inappropriée toutes les preuves qui le défient (contestent).

 

L’ICNIRP rejette particulièrement les preuves épidémiologiques parce que toutes les études existantes impliquent des expositions non thermiques. D’où accepter la validité de ces études contesterait directement le point de vue thermique des RF. De cette façon, l’approche pour traiter les effets sur la santé des rayonnements non-ionisants fut développée pour suivre une méthode complètement différente que celle des produits chimiques toxiques, celle des médicaments et celle de la pollution de l’air. Aussi, et l’approche de l’ICNIRP et les présomptions faites sont scientifiquement très contestées dans ce rapport.

 

2/ Vue d’ensemble de ce rapport :

 

Les normes de protection de la santé publique pour : les substances toxiques, chimiques, médicaments, pollution de l’air, radiations ionisantes, sont fixées par l’WHO (OMS), IARC, E.U (U.E.), U.S. EPA et la U.K. Royal Commission on Environmental Pollution en employant en premier lieu la preuve épidémiologique et en second lieu la preuve animale. L’OMS et l’ICNIRP basent les normes de protection du rayonnement non-ionisant sur un seul mécanisme biologique, l’échauffement tissulaire. Ils rejètent systématiquement ou ignorent toutes les preuves épidémiologiques et animales des effets non-thermiques pour les quels il existe un grand nombre de documents.

 

L’histoire et le fondement du point de vue thermique des RF qui dominent à l’ICNIRP, à l’OMS et parmi les autorités nationales sont documentés et résumés. Il sera démontré que, à travers la période de l’après guerre, la recherche scientifique et les scientifiques en médecine et en biologie ont contesté les suppositions thermiques des RF. Ils présentèrent de solides preuves revenant à démontrer que les systèmes biologiques emploient intrinsèquement les EMR [6] (REM, en français), pour le corps, les organes, les hormones et les fonctions cellulaires, ainsi que leur réglage et que les EMR (REM) interfèrent avec ceux-ci à des niveaux extrêmement bas d’exposition. Ces effets biologiques n’impliquent pas l’échauffement, mais impliquent des interactions non linéaires, résonantes non en équilibre entre les signaux oscillants des ELF [7] (FEB, en français)

 

Les effets biologiques bien documentés et bien établis non thermiques des EMR incluent une altération significative de l’homéostasie [8] d’ions calcium des cellules, la réduction de la mélatonine et la détection des « Résonances de Schumann » par les humains et les cerveaux d’oiseaux, les cassures des brins d’ADN et l’augmentation des aberrations chromosomiques.

 

Les implications sur la santé de ces effets biologiques sont discutés et documentés. Celles-ci montrent que les effluents/affluents d’ions de calcium et la réduction de la mélatonine sont liés séparément et communément aux cassures de brins d’ADN, aux aberrations chromosomiques, à l’activité amplifiée proto-oncogène [9] , l’affaiblissement de la compétence du système immunitaire et de l’affaiblissement des fonctions cardiaques et neurologiques. Beaucoup d’études pratiques, venant de laboratoires indépendants, ont observé et rapporté que tous ces effets sont en relation significatives avec l’exposition aux EMR (REM).

 

La biométéorologie (bioclimatologie) est une partie intégrante de la science qui est ignorée par l’ICNIRP. Cette science a fourni la preuve, il y a déjà 30 ans, que les cerveaux humains détectent et emploient les « Résonances de Schumann » pour la synchronisation des rythmes biologiques, i.e. comme un Zeigeber (time giver : donneur du temps). Cette observation, par elle-même, est un défit réel à la validité des hypothèses soutenant qu’il n’y a pas d’effets biologiques établis non-thermiques.

 

Les révisions épidémiologiques faites par le Dr John Goldsmith montrent que des effets contraires à la santé tels que les effets neurologiques, ceux de la reproduction et du cancer ont été observés parmi les populations exposées aux REM. Basé sur ceci, et l’approche [10] traditionnelle de la protection pour la santé publique, le Dr Goldsmith conteste la validité du guide d’instructions de l’ICNIRP et de son approche.

 

Pour résumer les preuves scientifiques, une série initiale de 8 principes de bio-électromagnétique sont proposés et un résumé bref de la recherche scientifique qui les appuie est donné.

 

Ce sont :

 

1.- Le rayonnement électromagnétique est intrinsèque à nos corps.

2.- Nos cerveaux sont les organes électriquement les plus sensibles de nos corps.

3.- Nos cœurs sont électriquement sensibles.

4.- Les cellules sont sensibles aux REM.

5.- Notre corps, en tant qu’un tout, agit comme une antenne.

6.- Le cerveau est relié aux organes et aux cellules à travers des hormones sensibles aux REM.

7.- Le principe du spectre REM.

8.- Le principe des radicaux libres.

 

Ces principes fournissent une approche solide et scientifiquement fiable pour évaluer les impacts des REM sur les gens et les animaux. Ils contestent judicieusement les hypothèses et l’approche de l’ICNIRP. L’analyse de l’ICNIRP sur les mécanismes biologiques est révisée et est trouvée être sélective, limitée et faible. L’analyse du cancer est démontrée comme étant sélective, trompeuse et défectueuse. Une approche épidémiologique incorrecte est constamment appliquée.

 

A partir des données venant des études citées (et mal employées) par les révisions (relectures) de l’ICNIRP et de l’OMS et appuyées par beaucoup d’autres preuves disponibles venant des recherches, une norme de protection de la santé publique pour les résidents est recommandée, basée sur des relations dose/réponse pour les effets sur le cancer et pour les effets neurologiques et les effets sur la reproduction.

 

3/  Les normes recommandées pour l’exposition aux RF/MW du public :

 

L’approche basée sur les effets thermiques de l’ICNIRP a été prouvé plusieurs fois être erronée en termes de preuve scientifique et de méthodologie pour l’établissement des normes de santé publique. Il y a suffisamment de preuves épidémiologiques pour établir une relation de cause et effet entre l’exposition chronique aux REM de bas niveau et plusieurs effets défavorables pour la santé, comprenant  les effets cardiaques, neurologiques, sur la reproduction et sur le cancer. Les relations de dose/réponse indiquent un seuil proche de zéro pour les problèmes de cancer et sur la reproduction.

En conséquence, l’objectif pour une norme recommandée est de :10 nW/cm².

     Ceci malgré le fait que, conformément au Principe de bio-électromagnétisme N° 2 qui identifie la sensibilité du cerveau aux interférences avec les REM, et qu’il y ait une confirmation suisse, l’étude de Schwarzenburg. Cette étude identifia des effets défavorables sur le sommeil et un nombre d’autres effets sérieux pour la santé, jusqu’à des niveaux moyens aussi bas que 0,4 nW/cm². [11]

 

Les difficultés d’apprentissage significatives furent mesurées chez des enfants exposés dans une école aux signaux radar pulsés à Skrunda,  Latvia, comparé aux écoles non exposées, Kolodynski et Kolodynska (1996). Les enfants exposés aux RF vivent à l’intérieur d’un cercle de rayon de 20 km autour du radar. A 3,7 km du radar, le champ mesuré fut de 0,32 µW/cm² [12] . En supposant une loi de l’inverse du carré entre 3,7 km et 20 km du radar, à 10 km l’exposition est approximativement 0,04 µW/cm² et 0,01 µW/cm² à 20 km. En conséquence, les enfants montrèrent des affaiblissements physiques et intellectuels lorsqu’ils étaient exposés  chroniquement dans la plage de 10 à 40 nW/cm².

 Wever (1974) et Konig (1974) prouvèrent que le cerveau humain détecte et emploie les signaux de la Résonance de Schumann pour la synchronisation et le maintien de la relation homéostatique durant les variations diurnes. Cherry montre que le signal de la Résonance de Schumann résulte en un mécanisme biologique pour plusieurs effets défavorables, significatifs pour la santé humaine, observés en relation avec les variations de l’activité géomagnétique. Ceci montre que les cerveaux détectent l’intensité et la fréquence des signaux de la Résonance de Schumann, et emploient les hormones, telles que la mélatonine, pour communiquer avec les organes et les cellules afin de maintenir la régulation diurne. Puisque l’intensité des résonances de Schumann est proche de 0,1 pW/cm² [13] , et que les effets sur la santé sont observés pour les niveaux hauts et bas d’intensité, alors les signaux modulés endogènes de ELF et RF/MW peuvent interférer avec le cœur et le cerveau à des intensités extrêmement faibles approchant l’exposition zéro. En conséquence, la minimisation de l’exposition est nécessaire pour protéger les travailleurs et la santé publique.


Les niveaux de fond des RF/MW dans les villes des pays occidentaux sont déjà dans la plage de 1nW/cm² à 5nW/cm², sauf près des sites d’antennes relais cellulaires et de radio et TV. Une option pratique pour éviter ces effets démontrés, c’est de fixer la limite d’exposition du public à :

10nW/cm². (0,01µW/cm²)

Dans tous les cas, toutes les tentatives pratiques devraient être entreprises pour garder les expositions aussi basses que possible, sous 10 nW/cm².

Un premier moyen de réaliser la protection de la santé publique est de s’éloigner fermement des technologies « sans fil ». Si les principales villes allaient vers les câbles à fibre optique pour tous les téléphones, les fax, la radio, la TV et les services Internet, écartant le besoin de sites de transmission par l’émission d’ondes, l’exposition moyenne du public pourrait être gardée sous 10 nW/cm². Les téléphones mobiles couplés avec leurs stations de base, posent le plus grand risque dans leur modes présents d’introduction. L’usage des téléphones mobiles devrait être minimisé et découragé, et les stations de base devraient être reculées des endroits où vivent les gens et où ils travaillent, surtout des hôpitaux et des écoles.

 

 

 4/  Atteindre la norme de 10 nW/cm² :

 

Une politique, pour les sites des antennes relais, qui restreint le pic d’exposition à 1 µW/cm², à la limite de la plus proche propriété habitée aura vraisemblablement une exposition hebdomadaire de 0,3 à 0,6 µW/cm² à cause du trafic des communications passant par le site. A la maison, l’exposition est plus petite et à l’intérieur, elle est environ 1/20e à 1/40e de la valeur extérieure, i.e. de 0,007 à 0,03 µW/cm². Admettant un rapport de 75 % entre " à la maison " / " éloigné de la maison " , ceci devient de 6 à 23 nW/cm². En dehors du centre des faisceaux, l’exposition moyenne est bien plus basse. En conséquence, la frontière limite d’exposition moyenne résidentielle de durée de vie de 10 nW/cm² pour quasi toute la population. Ceci démontre que la norme proposée est plus facile à atteindre qu’il n’y semble à l’origine.



[1] ICNIRP : international commission for non-ionizing radiation protection: commission internationale pour la protection contre les rayonnements non-ionisants.

[2] RF : radio fréquences.

MW : microwaves : micro-ondes.

[3] Carcinogène ou cancérigène.

[4] Tératogène : qui provoque des malformations congénitales.

[5] Health Pysics : Médecine pour la santé.

Abréviations employées en calcul de probabilité p : probabilité ; RR : risk ratio : rapport de risque ; OR : odds ratio : rapport de chance ; CI : confidence interval : intervalle de confiance

[6] EMR : electromagnetic radiations : rayonnement électromagnétique ou REM en français.

[7] ELF : extremely low frequency : fréquence extrêmement basse.

[8] Homéostasie : capacité de garder constant les paramètres biologiques face aux modifications du milieu extérieur.

[9] Oncogène : gène pouvant être un facteur de processus de formation de cancer.

[10] L’approche est prise ici dans le sens de : « manière d’aborder un sujet ».

[11] n : nano = 1/1 000 000 000

[12] µ : micro = 1/ 1 000 000

[13] p : pico = 1/ 1 000 000 000 000


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Document traduit par Raoul Treigner, corrigé et résumé par Richard Gautier
(Résumé : introduction / conclusion)
Source : http://www.teslabel.be/critique.htm

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1 - Lire également du même auteur, en Anglais :
"CRITICISM OF THE PROPOSAL TO ADOPT THE ICNIRP GUIDELINES FOR
CELLSITES IN NEW ZEALAND
" (1999)
Source :
- http://www.salzburg.gv.at/ICNIRP-Kritik1.pdf
- http://www.salzburg.gv.at/ICNIRP-Kritik2.pdf

2 - Evidence that Electromagnetic Radiation is Genotoxic: The implications for the
epidemiology of cancer and cardiac, neurological and reproductive effects

by Dr. Neil Cherry, June 2000
http://www.savespiritbear.org/documents/7Dr.CherryEvidence.pdf

3 - Autre critique (en Anglais, par Don Maisch) des valeurs de l'ICNIRP :
"The ICNIRP Guidelines: RF risk assessment built on a house of cards"
http://www.emfacts.com/papers/icnirp_critique.pdf

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Lire également :

- Pr Pierre Le Ruz : 'Téléphones mobiles et antennes relais - Quels risques réels pour les biens et les personnes ? - Quelles directives réalistes pour l’avenir ?' - 08/10/2006

- 'Arguments scientifiques justifiant l'application immédiate du principe de précaution à l'encontre de la téléphonie mobile' - Dr Roger SANTINI - Avril 2006

- Téléphones cellulaires, radars et santé : 'les normes d'exposition aux rayonnement électromagnétiques ne sont pas réalistes' - août 2002

- Dr Magda Havas : Examen critique des rapports officiels américains concernant les effets biologiques des CEM - 2000

- Prof. Dr. Adlkofer - coordonnateur de l'étude REFLEX de l'OMS, met en cause la partialité de l'ICNIRP... - 20/12/2005

- Pr Olle Johansson (Suède) dénonce le parti pris de l'OMS lors de son 'Colloque concernant l'hypersensibilité électromagnétique' - Prague, Oct. 2004

- DISCREDIT PUBLIC DE L’OMS - 2007

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