Dans le contexte actuel, il nous a semblé nécessaire de publier avec son accord le texte du Collectif 1815.
Il y a dix ans, presque jour pour jour, pendant l’occupation de la Forêt de Saoû, nous nous disions encore, en pleine action de désobéissance civile : « L’État ne fait rien pour nous, mais il ne fait rien contre nous. »
Cette situation a basculé.
En décembre 2019, le rapport du Ministère de la Santé remis au Parlement affirmait la volonté du gouvernement de supprimer toutes les « zones blanches ».
S’en est suivi l’état d’urgence sanitaire et la déréglementation de l’implantation des antennes-relais par ordonnance, pour accélérer le déploiement de la 5G.
Déjà, les collectifs qui luttaient pour que ne leur soient pas imposés des compteurs communicants, ont élargi leur point de vue et ont mené la fronde pour contrer un modèle de société tout numérique, faisant fi des aspects sanitaires, environnementaux, sociaux, et qui plus est liberticide.
Le 12 juillet 2021, le Président de la République a imposé à la France sa volonté de faire de nous des disciples du transhumanisme, profitant du désordre créé par la « crise sanitaire ».
Le pass sanitaire est une étape majeure dans ce processus de digitalisation de nos quotidiens via les téléphones dits intelligents : traçage, captation de données, contraintes.
L’injection d’une thérapie génique expérimentale à l’ensemble de la population, par coercition, ne nous questionne pas, nous, EHS/MCS. Nous connaissons déjà les réponses : « Citoyens de seconde zone » !
Nous avons été intoxiqués par la chimie. Nos systèmes immunitaires sont en berne, nous subissons une déficience de fluidification du sang, et plus encore...
L’augmentation des niveaux d’exposition aux rayonnements électromagnétiques crée toujours plus de résonance avec ces composés chimiques qui irriguent nos corps, ne cessant de faire muter nos symptômes d’une année sur l’autre, avec, pour les plus anciens d’entre nous, un pas vers Parkinson, Alzheimer, des cancers.
Nous, EHS/MCS, nous savons les ressorts psychologiques de l’isolement, de l’ostracisme, de la culpabilisation et de l’effondrement des repères supposés intangibles qui fondent nos sociétés : sidération, peur, immobilisme, repli sur soi (ou militantisme !).
Nous savons les conséquences du cocktail ondes électromagnétiques et toxiques ingérés ou inoculés. Nous imaginons ou connaissons les conséquences d’injections de nano-biotechnologies.
Nous, EHS/MCS, nous savons que nous sommes « citoyens de seconde zone », sacrifiés sur l’autel du transhumanisme pour qui l’irradiation aux champs électromagnétiques artificiels de la population est un pilier et une fondation.
Nous avons lancé l’alerte. Il est temps aujourd’hui de sonner le tocsin !
Il est temps d’aller, boiteux oui ! soutenir la France qui se lève, et les êtres humains qui partout dans le monde s’opposent à ces nouveaux démiurges !
Nous perdrons encore des amis, des proches, encore. Mais il est temps d’y aller !
De soutenir les lanceurs d’alerte, de relayer l’information, de contrer la propagande, de signer les pétitions, de se joindre aux actions judiciaires, de se mobiliser !
Par le Collectif 1815 (juillet 2021)
Citoyens de seconde zone, levez-vous !
Il y a dix ans, presque jour pour jour, pendant l’occupation de la Forêt de Saoû, nous nous disions encore, en pleine action de désobéissance civile : « L’État ne fait rien pour nous, mais il ne fait rien contre nous. »
Cette situation a basculé.
En décembre 2019, le rapport du Ministère de la Santé remis au Parlement affirmait la volonté du gouvernement de supprimer toutes les « zones blanches ».
S’en est suivi l’état d’urgence sanitaire et la déréglementation de l’implantation des antennes-relais par ordonnance, pour accélérer le déploiement de la 5G.
Déjà, les collectifs qui luttaient pour que ne leur soient pas imposés des compteurs communicants, ont élargi leur point de vue et ont mené la fronde pour contrer un modèle de société tout numérique, faisant fi des aspects sanitaires, environnementaux, sociaux, et qui plus est liberticide.
Le 12 juillet 2021, le Président de la République a imposé à la France sa volonté de faire de nous des disciples du transhumanisme, profitant du désordre créé par la « crise sanitaire ».
Le pass sanitaire est une étape majeure dans ce processus de digitalisation de nos quotidiens via les téléphones dits intelligents : traçage, captation de données, contraintes.
L’injection d’une thérapie génique expérimentale à l’ensemble de la population, par coercition, ne nous questionne pas, nous, EHS/MCS. Nous connaissons déjà les réponses : « Citoyens de seconde zone » !
Nous avons été intoxiqués par la chimie. Nos systèmes immunitaires sont en berne, nous subissons une déficience de fluidification du sang, et plus encore...
L’augmentation des niveaux d’exposition aux rayonnements électromagnétiques crée toujours plus de résonance avec ces composés chimiques qui irriguent nos corps, ne cessant de faire muter nos symptômes d’une année sur l’autre, avec, pour les plus anciens d’entre nous, un pas vers Parkinson, Alzheimer, des cancers.
Nous, EHS/MCS, nous savons les ressorts psychologiques de l’isolement, de l’ostracisme, de la culpabilisation et de l’effondrement des repères supposés intangibles qui fondent nos sociétés : sidération, peur, immobilisme, repli sur soi (ou militantisme !).
Nous savons les conséquences du cocktail ondes électromagnétiques et toxiques ingérés ou inoculés. Nous imaginons ou connaissons les conséquences d’injections de nano-biotechnologies.
Nous, EHS/MCS, nous savons que nous sommes « citoyens de seconde zone », sacrifiés sur l’autel du transhumanisme pour qui l’irradiation aux champs électromagnétiques artificiels de la population est un pilier et une fondation.
Nous avons lancé l’alerte. Il est temps aujourd’hui de sonner le tocsin !
Il est temps d’aller, boiteux oui ! soutenir la France qui se lève, et les êtres humains qui partout dans le monde s’opposent à ces nouveaux démiurges !
Nous perdrons encore des amis, des proches, encore. Mais il est temps d’y aller !
De soutenir les lanceurs d’alerte, de relayer l’information, de contrer la propagande, de signer les pétitions, de se joindre aux actions judiciaires, de se mobiliser !
Par le Collectif 1815 (juillet 2021)