Suite à la UNE du PARISIEN du 09/02/2008 sous le titre « Nouveaux soupçons sur les portables », Robin des Toits rappelle que ce sont des preuves scientifiques de la dangerosité de la téléphonie mobile qui sont maintenant disponibles.
En effet, le 31 août 2007, le Rapport BioInitiative, méta-analyse sur plus de 1500 études, réalisée par des experts indépendants internationaux, démontre la nocivité sur la santé tant des portables que des antennes-relais.
Le Ministère de la Santé déclare attendre les résultats de l'étude INTERPHONE.
Pourquoi attendre encore alors que les preuves sont déjà là, et qu'une proposition au Grenelle de l'Environnement, déposée conjointement par Robin des Toits, Ecologie sans Frontière et René Dutrey, Conseiller de Paris, si elle était appliquée, permettrait de conserver la technologie tout en la rendant compatible avec la Santé Publique ?
Pourquoi attendre aussi pour réglementer le Wifi alors que, comme il est dit dans l'article, le Wifi est interdit dans les écoles en Angleterre, en Allemagne et en Autriche ?
Robin des Toits rappelle que les émissions du Wifi sont de même nature que celles de la téléphonie mobile et que les scientifiques internationaux réclament l'application du Principe de Précaution pour cette technologie. Ce qui est prévu dans notre proposition du Grenelle de l'Environnement.
Dans son interview, Madame BACHELOT affirme qu' « Il n'existe aujourd'hui aucune preuve scientifique de la dangerosité du téléphone portable. Mais le risque ne peut pas être exclu. (...) et il faut éviter d'en équiper les enfants (...) ».
A la question : « Et vous, utilisez-vous l'oreillette ? » elle répond : « Non, car ma consommation du mobile est très faible, je ne l'utilise uniquement que si je ne peux pas faire autrement».
Tout ceci indique qu'elle semble suffisamment informée pour se protéger elle-même et que la précaution qui ressort de ses propos est plus appliquée à l'industrie qu'à la Santé Publique.
Le Grenelle a permis que soit listé un catalogue de solutions pour préserver la Santé Publique et l'Environnement. Il serait plus qu'utile que cela ne reste pas qu'un catalogue de voeux pieux.
En effet, le 31 août 2007, le Rapport BioInitiative, méta-analyse sur plus de 1500 études, réalisée par des experts indépendants internationaux, démontre la nocivité sur la santé tant des portables que des antennes-relais.
Le Ministère de la Santé déclare attendre les résultats de l'étude INTERPHONE.
Pourquoi attendre encore alors que les preuves sont déjà là, et qu'une proposition au Grenelle de l'Environnement, déposée conjointement par Robin des Toits, Ecologie sans Frontière et René Dutrey, Conseiller de Paris, si elle était appliquée, permettrait de conserver la technologie tout en la rendant compatible avec la Santé Publique ?
Pourquoi attendre aussi pour réglementer le Wifi alors que, comme il est dit dans l'article, le Wifi est interdit dans les écoles en Angleterre, en Allemagne et en Autriche ?
Robin des Toits rappelle que les émissions du Wifi sont de même nature que celles de la téléphonie mobile et que les scientifiques internationaux réclament l'application du Principe de Précaution pour cette technologie. Ce qui est prévu dans notre proposition du Grenelle de l'Environnement.
Dans son interview, Madame BACHELOT affirme qu' « Il n'existe aujourd'hui aucune preuve scientifique de la dangerosité du téléphone portable. Mais le risque ne peut pas être exclu. (...) et il faut éviter d'en équiper les enfants (...) ».
A la question : « Et vous, utilisez-vous l'oreillette ? » elle répond : « Non, car ma consommation du mobile est très faible, je ne l'utilise uniquement que si je ne peux pas faire autrement».
Tout ceci indique qu'elle semble suffisamment informée pour se protéger elle-même et que la précaution qui ressort de ses propos est plus appliquée à l'industrie qu'à la Santé Publique.
Le Grenelle a permis que soit listé un catalogue de solutions pour préserver la Santé Publique et l'Environnement. Il serait plus qu'utile que cela ne reste pas qu'un catalogue de voeux pieux.