Présentation
Robin des Toits veut promouvoir un système de télécommunication qui respecte vraiment le vivant, la planète et nos droits fondamentaux et, par là, libérer la société du tout connecté.
Aujourd'hui, nous en sommes loin. Les industries des télécommunications et du numérique imposent leur volonté aux politiques qui, avec l'aide du secteur financier, organisent un système généralisé de connexion très rémunérateur pour ces industriels, ignorant le bien commun, ce qui nous permet de vivre ensemble, ni nos droits fondamentaux.
Au plan sanitaire, les systèmes de télécommunications en 2, 3, 4 puis 5 et 6G, faisceaux hertziens et autres, saturent notre espace de vie d'ondes et de champs électromagnétiques (CEM) artificiels. Ils sont générés par des compteurs communicants, des téléphones portables, des smartphones, auxquels s'ajoutent de plus en plus d'objets connectés, tablettes, consoles de jeux, montres, voitures, la liste s'allonge de jour en jour. Ces ondes, auxquelles s'ajoutent les émissions d'installations électriques (panneaux photovoltaïques, éoliennes, lignes très haute tension à proximité des habitations…), sont toxiques pour les organismes vivants et handicapent une part toujours croissante de la population qui se plaint de problèmes de sommeil, maux de tête ou d'autres symptômes.
De nombreuses personnes, hyperélectrosensibles (EHS), ne peuvent plus vivre normalement, certaines se suicident. L'augmentation des maladies neuro-dégénératives, cancers, dépression, électrohypersensibilité, maladies cardio-vasculaires, maladies auto-immunes, allergies, AVC est à mettre directement en rapport avec l'augmentation de l'électrosmog, le brouillard d'ondes, qui nous entoure. Depuis un demi-siècle, s'accumulent les preuves scientifiques de cette toxicité.
Au plan de la biodiversité, ce qui vaut pour l'humain vaut pour tout le vivant : les CEM artificiels figurent parmi les responsables de l'effondrement de la biodiversité, animale et végétale, menaçant notre alimentation. Cette atteinte au vivant s'accompagne d'un pillage des ressources de la planète, qui seront bientôt épuisées. Les industries des télécommunications et du numérique sont très consommatrices d'énergie et de matières premières, tant pour la production des matériels que pour leur utilisation. Cette exploitation se fait au détriment d'une part de l'humanité, surtout dans les pays du Sud.
Au plan démocratique enfin, ces industries et leurs alliés politiques bafouent le respect de la vie privée, de la liberté d'information et d'expression, la pluralité et la diversité des média et le respect du droit à la non-numérisation. Le tout connecté nous asservit toujours plus aux puissances financières et politiques qui l'organisent.
Face à ce constat accablant, Robin des Toits, par ce manifeste, fait un ensemble de propositions visant à transmettre un monde vivable et vivant aux générations futures.
D'abord prenons conscience de la toxicité des ondes qui nous entourent, invisibles mais omniprésentes, et réduisons drastiquement leur usage. Préférons d’autres moyens techniques, notamment un réseau filaire développé, en concevant autrement des organisations du travail.
Puis réévaluons les besoins et n’utilisons les ondes que là où elles servent un but primordial et s’avèrent irremplaçables.
Robin des Toits émet des propositions techniques comme la baisse radicale des normes d’exposition aux ondes, la modification du protocole de mesure et d'analyse de cette exposition, l'arrêt du recours aux ondes pulsées, un moratoire au déploiement de la 5G, le développement du réseau filaire, le quasi-arrêt du wifi et d’autres mesures abaissant notre exposition aux ondes. Ceci ne signifiera pas la fin de la téléphonie mobile ni de l’internet, mais seulement l’abandon du rêve irréaliste du tout, tout de suite et en tous lieux. Ainsi seront épargnés également la biodiversité et la planète.
Accompagnons ces mesures techniques de gros efforts d'information de la population et d'éducation
aux dangers du tout connecté. Exigeons un droit à la déconnexion/non-connexion, à la protection renforcée des données privées. Adoptons des politiques économiques adaptées comme la limitation drastique de la taille et du pouvoir des « géants du numérique ». Inversons la tendance, passons d'une maximisation des profits à court terme des entreprises à une maximisation du bien commun, une économie des ressources conduisant à produire par exemple des appareils réparables, durables et recyclables.
Reconnaissons l'addiction aux écrans et surtout aux contenus véhiculés et enfin, exigeons la protection renforcée des plus fragiles, femmes enceintes, enfants, adolescents, personnes âgées, malades.
Une mobilisation générale est nécessaire :
mobilisation des scientifiques, qui doivent pouvoir travailler sans la contrainte des lobbys industriels au développement de techniques de télécommunications respectueuses du vivant, mobilisation du monde politique, qui doit reconnaître le handicap d'électrohypersensibilité, le danger de santé publique et d'effondrement de la biodiversité que provoquent les ondes électromagnétiques artificielles et reconnaître la responsabilité des opérateurs et industriels, mobilisation du corps médical, qui doit apprendre à diagnostiquer les effets des CEM et à soigner les personnes handicapées par leur électrohypersensibilité, mobilisation des associations de protection de l'environnement, de l'enfance, des droits humains, pour porter ensemble ces revendications et propositions, mobilisation de toutes et tous pour stopper la machine infernale du pseudo-Progrès d'un monde hyperconnecté qui court à sa perte, pour aller à un monde où les gens se parlent et tiennent compte dans leurs décisions de l'impact sur le bien commun, la planète que nous avons en partage. Aujourd'hui, nous en sommes loin. Les industries des télécommunications et du numérique imposent leur volonté aux politiques qui, avec l'aide du secteur financier, organisent un système généralisé de connexion très rémunérateur pour ces industriels, ignorant le bien commun, ce qui nous permet de vivre ensemble, ni nos droits fondamentaux.
Au plan sanitaire, les systèmes de télécommunications en 2, 3, 4 puis 5 et 6G, faisceaux hertziens et autres, saturent notre espace de vie d'ondes et de champs électromagnétiques (CEM) artificiels. Ils sont générés par des compteurs communicants, des téléphones portables, des smartphones, auxquels s'ajoutent de plus en plus d'objets connectés, tablettes, consoles de jeux, montres, voitures, la liste s'allonge de jour en jour. Ces ondes, auxquelles s'ajoutent les émissions d'installations électriques (panneaux photovoltaïques, éoliennes, lignes très haute tension à proximité des habitations…), sont toxiques pour les organismes vivants et handicapent une part toujours croissante de la population qui se plaint de problèmes de sommeil, maux de tête ou d'autres symptômes.
De nombreuses personnes, hyperélectrosensibles (EHS), ne peuvent plus vivre normalement, certaines se suicident. L'augmentation des maladies neuro-dégénératives, cancers, dépression, électrohypersensibilité, maladies cardio-vasculaires, maladies auto-immunes, allergies, AVC est à mettre directement en rapport avec l'augmentation de l'électrosmog, le brouillard d'ondes, qui nous entoure. Depuis un demi-siècle, s'accumulent les preuves scientifiques de cette toxicité.
Au plan de la biodiversité, ce qui vaut pour l'humain vaut pour tout le vivant : les CEM artificiels figurent parmi les responsables de l'effondrement de la biodiversité, animale et végétale, menaçant notre alimentation. Cette atteinte au vivant s'accompagne d'un pillage des ressources de la planète, qui seront bientôt épuisées. Les industries des télécommunications et du numérique sont très consommatrices d'énergie et de matières premières, tant pour la production des matériels que pour leur utilisation. Cette exploitation se fait au détriment d'une part de l'humanité, surtout dans les pays du Sud.
Au plan démocratique enfin, ces industries et leurs alliés politiques bafouent le respect de la vie privée, de la liberté d'information et d'expression, la pluralité et la diversité des média et le respect du droit à la non-numérisation. Le tout connecté nous asservit toujours plus aux puissances financières et politiques qui l'organisent.
Face à ce constat accablant, Robin des Toits, par ce manifeste, fait un ensemble de propositions visant à transmettre un monde vivable et vivant aux générations futures.
D'abord prenons conscience de la toxicité des ondes qui nous entourent, invisibles mais omniprésentes, et réduisons drastiquement leur usage. Préférons d’autres moyens techniques, notamment un réseau filaire développé, en concevant autrement des organisations du travail.
Puis réévaluons les besoins et n’utilisons les ondes que là où elles servent un but primordial et s’avèrent irremplaçables.
Robin des Toits émet des propositions techniques comme la baisse radicale des normes d’exposition aux ondes, la modification du protocole de mesure et d'analyse de cette exposition, l'arrêt du recours aux ondes pulsées, un moratoire au déploiement de la 5G, le développement du réseau filaire, le quasi-arrêt du wifi et d’autres mesures abaissant notre exposition aux ondes. Ceci ne signifiera pas la fin de la téléphonie mobile ni de l’internet, mais seulement l’abandon du rêve irréaliste du tout, tout de suite et en tous lieux. Ainsi seront épargnés également la biodiversité et la planète.
Accompagnons ces mesures techniques de gros efforts d'information de la population et d'éducation
aux dangers du tout connecté. Exigeons un droit à la déconnexion/non-connexion, à la protection renforcée des données privées. Adoptons des politiques économiques adaptées comme la limitation drastique de la taille et du pouvoir des « géants du numérique ». Inversons la tendance, passons d'une maximisation des profits à court terme des entreprises à une maximisation du bien commun, une économie des ressources conduisant à produire par exemple des appareils réparables, durables et recyclables.
Reconnaissons l'addiction aux écrans et surtout aux contenus véhiculés et enfin, exigeons la protection renforcée des plus fragiles, femmes enceintes, enfants, adolescents, personnes âgées, malades.
Une mobilisation générale est nécessaire :
Respectons la santé du vivant, les ressources de la planète et nos droits fondamentaux, alors nous aurons aussi une société accueillante, bienveillante, solidaire, respectueuse de la Terre, de ses habitants dans sa biodiversité.
Pour plus d'informations voici les liens pour accéder à la version synthétique du manifeste :
Version synthétique
La version intégrale paraîtra bientôt aux éditions Yves Michel, dans le courant du 1er trimestre 2025.