Les mobilisations contre les antennes de téléphonie mobile se multiplient à Bordeaux et vendredi soir une trentaine de personne a manifesté pour protester contre l'implantation de trois antennes-relais sur un immeuble, a constaté une journaliste de l'AFP.
"Nous avons découvert par hasard il y a quelques semaines qu'il y avait un projet d'installation alors même qu'aucun habitant n'en avait été informé", a expliqué Nathalie Ruiz-Chêne, porte-parole du collectif Albert 1er qui vient de se constituer.
"L'information que nous avons sur ce projet est très lacunaire", a-t-elle affirmé, déplorant que cela se fasse alors même qu'une centaine de familles vivent dans cet immeuble situé en face d'une maison de retraite.
Ce collectif a reçu le soutien de celui baptisé "Amédée Saint-Germain" qui s'est constitué en juillet pour protester contre un projet similaire, sur un immeuble situé dans un autre quartier de la ville.
"Nous n'avons pas de nouvelles depuis, on souhaite aujourd'hui que la mairie nous fournisse un schéma des antennes-relais qui doivent être installées (en) Gironde. Nous voulons une vraie concertation", a indiqué Stéphane Sanchez, membre du collectif "Amédée Saint Germain" et d'Europe Ecologie Les Verts (EELV).
Parallèlement, dans un autre quartier de Bordeaux, des riverains et parents d'élèves d'une école maternelle et primaire, situé à côté d'une immeuble de France 3 sur lequel sont installées trois antennes relais qui émettent depuis 2003, se sont également mobilisés.
"L'an dernier, France 3 semblait convaincue du danger potentiel de ces antennes, le bail qui liait Orange n'a pas été renouvelé. Les antennes devaient être retirées en février. Aujourd'hui non seulement elles sont toujours là, mais elles émettent encore", a déploré Isabelle Fabre-Richard, parent d'élèves.
Selon elle, "l'explication d'Orange est qu'ils se conforment au contrat antérieur qui prévoit une clause spécifique tant qu'ils n'ont pas trouvé d'autre emplacement pour les installer".
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Source : http://www.leparisien.fr/bordeaux-33000/les-mobilisations-contre-les-antennes-relais-se-multiplient-a-bordeaux-21-10-2011-1679956.php
"Nous avons découvert par hasard il y a quelques semaines qu'il y avait un projet d'installation alors même qu'aucun habitant n'en avait été informé", a expliqué Nathalie Ruiz-Chêne, porte-parole du collectif Albert 1er qui vient de se constituer.
"L'information que nous avons sur ce projet est très lacunaire", a-t-elle affirmé, déplorant que cela se fasse alors même qu'une centaine de familles vivent dans cet immeuble situé en face d'une maison de retraite.
Ce collectif a reçu le soutien de celui baptisé "Amédée Saint-Germain" qui s'est constitué en juillet pour protester contre un projet similaire, sur un immeuble situé dans un autre quartier de la ville.
"Nous n'avons pas de nouvelles depuis, on souhaite aujourd'hui que la mairie nous fournisse un schéma des antennes-relais qui doivent être installées (en) Gironde. Nous voulons une vraie concertation", a indiqué Stéphane Sanchez, membre du collectif "Amédée Saint Germain" et d'Europe Ecologie Les Verts (EELV).
Parallèlement, dans un autre quartier de Bordeaux, des riverains et parents d'élèves d'une école maternelle et primaire, situé à côté d'une immeuble de France 3 sur lequel sont installées trois antennes relais qui émettent depuis 2003, se sont également mobilisés.
"L'an dernier, France 3 semblait convaincue du danger potentiel de ces antennes, le bail qui liait Orange n'a pas été renouvelé. Les antennes devaient être retirées en février. Aujourd'hui non seulement elles sont toujours là, mais elles émettent encore", a déploré Isabelle Fabre-Richard, parent d'élèves.
Selon elle, "l'explication d'Orange est qu'ils se conforment au contrat antérieur qui prévoit une clause spécifique tant qu'ils n'ont pas trouvé d'autre emplacement pour les installer".
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Source : http://www.leparisien.fr/bordeaux-33000/les-mobilisations-contre-les-antennes-relais-se-multiplient-a-bordeaux-21-10-2011-1679956.php