Ayant constitué un Conseil « scientifique » de rencontre, la Mairie de Paris en a reçu un
rapport concernant la téléphonie mobile.
Qui s’aligne sans vergogne sur les « rapports » des « experts » payés par les opérateurs.
L’essentiel du texte étant paru dans la presse, nous considérons qu’il est public et qu’il s’agit
de la position « éclairée » de la Mairie de Paris sur le sujet.
Ce texte comporte en conclusion les ritournelles les plus usagées de la version officielle :
- rien de scientifique n’établit une toxicité,
- rien ne justifie un niveau bas des seuils d’exposition.
Par cet alignement sans nuance sur ce que la version officielle a de plus primaire, la Mairie de
Paris confirme qu’elle est aux ordres des opérateurs et qu’elle leur abandonne la population.
Elle confirme aussi par là son abdication de la primauté du politique sur le commercial.
Batifolant sans complexe loin des limites de sa compétence statutaire, elle prétend se mêler de
promulguer des édits sanitaires.
Par lesquels elle expose l’étendue de son ignorance en littérature scientifique sur la toxicité.
Elle tient pour négligeable que la Justice ait pris position et déclaré que ce n’est pas de la
diffamation de dire que la téléphonie mobile est toxique.
Ce qui a pour conséquence évidente immédiate que c’est alors de l’information.
Monsieur DELANOE, qui semble avoir oublié qu’il a été élu par la population et pas par la
grande industrie, a tenu à ce que son nom figure sur la liste de ceux qui ont illustré les
nombreux scandales sanitaires fondés sur une succession ininterrompue de mensonges d’Etat.
Sur la liste de ceux qui ont participé à la destruction publique de la santé publique.
Il ambitionne d’être un futur PELLERIN.
Ce micro événement ne modifiera en rien, on s’en doute, la détermination de ceux qui
combattent l’aberration dictée aux politiques par les seigneurs des gros bénéfices.
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rapport concernant la téléphonie mobile.
Qui s’aligne sans vergogne sur les « rapports » des « experts » payés par les opérateurs.
L’essentiel du texte étant paru dans la presse, nous considérons qu’il est public et qu’il s’agit
de la position « éclairée » de la Mairie de Paris sur le sujet.
Ce texte comporte en conclusion les ritournelles les plus usagées de la version officielle :
- rien de scientifique n’établit une toxicité,
- rien ne justifie un niveau bas des seuils d’exposition.
Par cet alignement sans nuance sur ce que la version officielle a de plus primaire, la Mairie de
Paris confirme qu’elle est aux ordres des opérateurs et qu’elle leur abandonne la population.
Elle confirme aussi par là son abdication de la primauté du politique sur le commercial.
Batifolant sans complexe loin des limites de sa compétence statutaire, elle prétend se mêler de
promulguer des édits sanitaires.
Par lesquels elle expose l’étendue de son ignorance en littérature scientifique sur la toxicité.
Elle tient pour négligeable que la Justice ait pris position et déclaré que ce n’est pas de la
diffamation de dire que la téléphonie mobile est toxique.
Ce qui a pour conséquence évidente immédiate que c’est alors de l’information.
Monsieur DELANOE, qui semble avoir oublié qu’il a été élu par la population et pas par la
grande industrie, a tenu à ce que son nom figure sur la liste de ceux qui ont illustré les
nombreux scandales sanitaires fondés sur une succession ininterrompue de mensonges d’Etat.
Sur la liste de ceux qui ont participé à la destruction publique de la santé publique.
Il ambitionne d’être un futur PELLERIN.
Ce micro événement ne modifiera en rien, on s’en doute, la détermination de ceux qui
combattent l’aberration dictée aux politiques par les seigneurs des gros bénéfices.
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