Cette fois, c’est dit et acté : la France, qui depuis longtemps ne fait plus croire à personne qu’elle est le pays des Droits de l’homme et des Lumières, est officiellement entrée en dictature ce 12 juillet 2021.
Son chef d’état est parti en guerre contre notre démocratie, contre nos libertés, contre notre mode de vie, contre nos valeurs et nos habitudes culturelles.
Il use de prétextes sanitaires en s’appuyant sur une science dévoyée, bien éloignée de ses principes fondamentaux : indépendance, humilité, ouverture d’esprit et prudence face à des phénomènes nouveaux.
Instillant depuis des mois un climat anxiogène dans la population, multipliant mensonges, contradictions et incohérences, bénéficiant du soutien inconditionnel des médias grand public, il a constamment stigmatisé des boucs émissaires (les vieux, les jeunes, les enfants, les pauvres, les chômeurs, les retraités, les soignants), pour finalement dissocier vaccinés / non-vaccinés qui n’auraient plus les mêmes droits.
Il impose ainsi ségrégation, discrimination, séparation entre les citoyens qu’il juge bons ou mauvais, ceux qui se plient à ses diktats, et ceux qui s’attachent à leur liberté.
Demain, chacun d’entre nous, coupable en puissance, pourra être désigné, quelle qu’en soit la raison.
Pourtant, respectueux de la hiérarchie et des principes républicains, les citoyens ont accepté toutes les contraintes imposées, laissant croire que tous les abus de pouvoir étaient permis.
Mais si nous continuons à baisser l’échine, chacun pourra bientôt évaluer le montant colossal de nos pertes démocratiques, aussi abyssal que le gouffre creusé dans une sécurité sociale qui ne sera plus qu’un souvenir.
On peut craindre en l’état que le pire soit à venir, que les nécessaires débats démocratiques s’effaceront devant la pensée unique, que nos activités associatives seront elles aussi muselées, surveillées, contrôlées, et que nous jouerons plus que jamais les idiots utiles.
Chacune de nos associations dispose encore d’un porte-voix. Nous pouvons encore - mais pour combien de temps ? – porter la voix de nos milliers d’adhérents auprès des médias et des autorités, maires, préfets, députés et sénateurs, pour dénoncer, pour dire NON, pour dire STOP, pour dire haut et fort : nous refusons toute forme de chantage, nous refusons toute forme de ségrégation et discrimination, nous refusons le fichage et la surveillance généralisée, nous exigeons le retour de l’état de droit, nous exigeons le respect des libertés de chaque citoyen.
Robin des Toits - 16 juillet 2021
A LIRE. Article dans le blog de Médiapart du 17 juillet 2021 :
https://blogs.mediapart.fr/edition/en-bigorre/article/170721/propos-de-la-crise-democratique-que-nous-affrontons-actuellement
Son chef d’état est parti en guerre contre notre démocratie, contre nos libertés, contre notre mode de vie, contre nos valeurs et nos habitudes culturelles.
Il use de prétextes sanitaires en s’appuyant sur une science dévoyée, bien éloignée de ses principes fondamentaux : indépendance, humilité, ouverture d’esprit et prudence face à des phénomènes nouveaux.
Instillant depuis des mois un climat anxiogène dans la population, multipliant mensonges, contradictions et incohérences, bénéficiant du soutien inconditionnel des médias grand public, il a constamment stigmatisé des boucs émissaires (les vieux, les jeunes, les enfants, les pauvres, les chômeurs, les retraités, les soignants), pour finalement dissocier vaccinés / non-vaccinés qui n’auraient plus les mêmes droits.
Il impose ainsi ségrégation, discrimination, séparation entre les citoyens qu’il juge bons ou mauvais, ceux qui se plient à ses diktats, et ceux qui s’attachent à leur liberté.
Demain, chacun d’entre nous, coupable en puissance, pourra être désigné, quelle qu’en soit la raison.
Pourtant, respectueux de la hiérarchie et des principes républicains, les citoyens ont accepté toutes les contraintes imposées, laissant croire que tous les abus de pouvoir étaient permis.
Mais si nous continuons à baisser l’échine, chacun pourra bientôt évaluer le montant colossal de nos pertes démocratiques, aussi abyssal que le gouffre creusé dans une sécurité sociale qui ne sera plus qu’un souvenir.
On peut craindre en l’état que le pire soit à venir, que les nécessaires débats démocratiques s’effaceront devant la pensée unique, que nos activités associatives seront elles aussi muselées, surveillées, contrôlées, et que nous jouerons plus que jamais les idiots utiles.
Chacune de nos associations dispose encore d’un porte-voix. Nous pouvons encore - mais pour combien de temps ? – porter la voix de nos milliers d’adhérents auprès des médias et des autorités, maires, préfets, députés et sénateurs, pour dénoncer, pour dire NON, pour dire STOP, pour dire haut et fort : nous refusons toute forme de chantage, nous refusons toute forme de ségrégation et discrimination, nous refusons le fichage et la surveillance généralisée, nous exigeons le retour de l’état de droit, nous exigeons le respect des libertés de chaque citoyen.
Robin des Toits - 16 juillet 2021
A LIRE. Article dans le blog de Médiapart du 17 juillet 2021 :
https://blogs.mediapart.fr/edition/en-bigorre/article/170721/propos-de-la-crise-democratique-que-nous-affrontons-actuellement