L'hyperconnexion : le mal d'une époque (la preuve en images et en vidéo) - septembre 2014




En France, le téléphone portable a commencé à devenir populaire à partir de 1997 - 1998. La Tatoo, le Tam-tam, bipers français qui utilisaient les ondes analogiques (donc sans problème de santé) ont dû céder le pas à ce nouvel outil technologique.

Nombreux furent les gens restés de prime abord distants de cette technologie, qu'ils avaient jugé à raison, parfois intrusive et souvent inopportune. C'était, en effet, accepter d'être toujours joignable, à tout moment de la journée et surtout pour n'importe quelle raison.

L'argument pour convaincre les plus rétifs était qu'ils étaient libres. Qu'ils pourraient donc couper leur téléphone quand bon leur semblerait. Que ce n'était qu'un outil, qui pourrait leur sauver la vie en cas d'accident de voiture ou pour recevoir un appel urgent en cas d'enfant malade... et puis finalement pour recevoir des appels d'une urgence capitale comme : "n'oublie pas la baguette de pain", "quelle bouteille de lait dois-je choisir ?" ou encore "j'arrive dans 5 minutes" !...

On porta le téléphone, trop gros à l'époque pour rester dans une poche, à la ceinture et on le laissa allumé du matin au soir. Disponible à toute sollicitation. Quand votre téléphone sonnait, on vous appelait vous. On n'appelait pas chez vous, pour tomber sur votre mère, votre frère ou vos enfants, on vous avait appelé vous et on souhaitait vous parler, à vous - et tout de suite.
Sans attendre que vous soyez rentré à la maison, par exemple...
C'était assez excitant et valorisant, car quand on vous appelait, c'était qu'on pensait à vous ou qu'on avait besoin de vous.
Mais le téléphone mobile, devint aussi, de ce fait, une source d'intrusion perpétuelle dans la vie des gens.


Cette intrusion immédiate, qui a irrité et irrite encore certains, a été acceptée, parce qu'elle est bilatérale, réciproque. On me fait ce que je fais aux autres. Et tout le monde ou presque fonctionne ainsi, désormais.
Petit à petit mais très vite, le portable est ainsi devenu, pour certains, un outil de contrôle. Y compris affectif.
Voir : 'Le portable, ennemi du couple ?' - Femme Acteulle - 08/02/2013

Le portable, qui devait être un outil pour compléter la fonction du téléphone fixe, au cas où on ne pouvait faire autrement, a fait l'objet de campagnes marketing phénoménales et est devenu, en une dizaine d'années, un accessoire indispensable, voire obligatoire, pour la vie courante.

Chacun peut d'ailleurs remarquer l'omniprésence du portable lorsque l'on indique son numéro de téléphone fixe à un contact, en précisant que l'on serait joignable sur le fixe, il y a 9 chances sur 10 pour qu'on vous appelle tout de même sur le portable sans même essayer le téléphone fixe par la suite ! Pour peu que vous soyez un modéré du portable, il peut vous arriver de manquer quelques rendez-vous ! Parfois, votre interlocuteur oubliera l'information essentielle et vous dira : "vous n'êtes pas là... merci de rappeler...". Sous entendu, "vous souhaitiez être rappelé mais êtes absent, c'est donc votre faute"... Vous étiez peut-être en voiture et avez eu la bonne idée de ne pas répondre !



« Si tu veux parler à Dieu, arrête-toi, choisis un endroit calme et parle-Lui...
Si, par contre, tu veux Le voir, envoie-Lui un SMS en conduisant. » *
* Lu sur une affiche le long de la route en Floride....


Nos enfants sauront-ils que leurs parents utilisaient autrefois des cabines téléphoniques, attendaient leur rendez-vous au café les bras croisés et allaient rendre visite à un ami en sonnant à sa porte, sans l'appeler dans le hall de l'immeuble !

En effet, les parents, inquiets et certainement mal informés ont équipé leurs enfants et adolescent d'un téléphone portable, et ont justifié ce choix par la possibilité pour eux de signaler tout événement anormal et de les joindre et les localiser à tout moment.

Ces parents ne sont pas à blâmer car ils ont été peu à peu encouragés par les industriels à équiper les plus jeunes
Et ce, malgré l'article L5231-3 du code de la santé publique, interdisant la publicité pour les téléphones portables s'adressant aux moins de 14 ans et l'article L5231-4 permettant d'interdire la commercialisation d'un terminal radioélectrique destiné aux moins de 6 ans.
Articles de loi qui pourraient être l'occasion pour les parents de mettre en oeuvre ces dispositions, afin de protéger les plus jeunes, qui sont, rappelons-le, les plus fragiles.

Ils permirent, d'ailleurs, à Robin des Toits, en 2013, de dénoncer certaines publicités ayant franchi la ligne, comme cette publicité FREE montrant une fillette d'environ 6 ans remercier FREE pour son tarif ! Et d'en obtenir le retrait immédiat de l'espace public.




Dans cet esprit, des bracelets électroniques de la marque LG, fonctionnant en Wi-fi, permettent aujourd'hui de localiser les plus petit. Ces équipements arriveront bientôt en France...
Voir : DANGER / ENFANT et bracelet connecté - Lettre ouverte à Jacques Toubon et Marisol Touraine - Robin des Toits - 15/07/2014




Les enfants seront donc exposés à une source continue d'ondes électromagnétiques, au contact direct du corps, ce qui est une grave erreur sur le plan sanitaire.

Rappelons que les champs électromagnétiques, de toute nature, ont été classés comme cancérogènes possibles par l'OMS en mai 2011 ; rappelons également que tout le monde s'accorde à reconnaître que les enfants sont plus vulnérables aux champs électromagnétiques, dès lors que leurs os et leurs tissus sont plus fins et que leurs organes sont en développement ; rappelons enfin que l'ANSES, dans son dernier rapport, bien que très soucieuse de ne pas agiter de "peurs irrationnelles" et peu réceptive aux signaux faibles, a tout de même relevé parmi ses points de préoccupation l'exposition des enfants aux champs électromagnétiques.

Dans ces conditions, quel parent bien informé équiperait son enfant d'un tel gadget, même dans un souci de sécurité ? "Bien informé", toute la nuance est là, tant le silence sur les CEM et le danger sanitaire qu'ils représentent est pesant, et entretenu par de puissants intérêts financiers.

Evidemment, il ne faut pas être passéiste mais "vivre avec son temps".
Or, éduquer un enfant, veiller à sa sécurité, ce sont des objectifs on ne peut plus légitimes. Mais ils passent par l'organisation attentive de l'emploi du temps de l'enfant, le fait de le confier à des tiers de confiance, de veiller à ses fréquentations et à ses activités, de le responsabiliser sur ses actions, de lui faire une confiance adaptée à son âge. Eduquer un enfant, ce n'est pas lui coller un "machin électronique" comparable (tout à fait similaire, en fait) à celui des sortants de prison.


Touchant aujourd'hui les plus petits, la téléphonie mobile, le Wi-fi et autres technologies connectées envahissent littéralement l'espace public et privé en occasionnant un accroissement exponentiel de l'exposition aux champs électromagnétiques, n'est-il pas temps de s'interroger sur leur utilité et d'adapter leur utilisation au besoin réel ?

En effet, pour de nombreux enfants et adolescent, Internet = Wi-fi, la connexion par câble n'existe pratiquement pas car ils n'ont connu que les tablettes et les smartphones. Cependant, la connexion internet classique par câble est la plus stable, la plus sécurisée, la plus rapide et sans aucun danger sanitaire. Elle permet, en outre, d'utiliser internet en un temps et un lieu défini, de sorte de ne pas être envahi par la réalité virtuelle.


Mais l'hyperconnexion, classiquement définie comme une connexion excessive aux sites Internet et aux réseaux sociaux, au risque de se "déconnecter" du présent, concerne également aujourd'hui l'internet des objets, où l'individu est mis en relation à tout moment et à une distance illimitée, avec l'information du monde extérieur et non tangible, par le biais d'un ensemble de périphériques connectés sans-fil.
Il est évidemment à craindre que la multiplication de ces échanges va densifier la pollution électromagnétique en hyperfréquence.

Le photographe Luis Hernan a capturé ces échanges de données numériques en hyperfréquence (non câblées = sans-fil par 4G / Wifi) et les a matérialisés afin de faire prendre conscience de cette réalité.

Voir toutes les photos : http://www.itsnicethat.com/articles/luis-hernan-digital-ethereal

Ce questionnement, en vue d'une modération n'est pas uniquement la responsabilité des pouvoirs publics. Robin des Toits revendique la baisse des seuils d'exposition de la téléphonie 2G à 0,6V/m (se basant sur le rapport Bioinitiatve 2007 - 2012) ainsi qu'un moratoire sur la 3G / 4G (se basant sur le rapport Reflex 2004) et le remplacement technologique ou l'interdiction du Wi-fi... Mais évidemment, il s'agit de voeux pieux sans une prise de conscience générale de la toxicité sanitaire que Robin des Toits dénonce depuis une dizaine d'années.
En voici le résumé :
Récapitualtif du danger de la téléphonie mobile (portable, antenne-relais, Bluetooth, Wi-fi...)

Cette multiplication des échanges par champs électromagnétiques hyperfréquence occasionne ces dommages sanitaires, que l'on le sente ou non, sur soi, sur ses enfants. De nombreuses études prouvent que l'exposition in vitro et dès le plus jeune âge augmente le risque de troubles comportementaux et de l'autisme mais également des tumeurs cérébrales.
Voir :
- 'Utilisation du téléphone portable et troubles comportementaux chez l'enfant' - Divan HA et al. - Etude américaine - 22/09/2010
- 'Exposition prénatale et postnatale au téléphone portable et troubles comportementaux chez l'enfant' - Divan HA. et al - Juil. 2008
- Radiation sans fil dans l'étiologie et le Traitement de l'autisme : observations cliniques - Etude Américaine (G. Carlo) - Août 2007
- Augmentation de 50% des tumeurs du cerveau chez les enfants au Royaume-Uni en 10 ans + 40% au Danemark, en Finlande - explosion du phénomène en France - 30/05/2012



Le téléphone portable est donc envahissant quand il n'est plus utilisé comme un outil.
Vous pourrez ainsi constater que parfois les gens s'irritent de votre indisponibilité au téléphone portable, qu'ils vivent, à tort, comme un refus personnel de leur parler. Mais le message qu'ils avaient à vous délivrer n'était, cependant, pas toujours de la première urgence !
A ce sujet, un des arguments de ceux qui dorment avec le portable allumé sur leur table de chevet, est qu'ils peuvent recevoir des appels urgents de leur famille au sujet de n'importe quel événement soudain, tel un accident ou un décès. Faut-il rappeler que le téléphone fixe remplit la même fonction ? Les adolescents, eux, dorment parfois avec le portable sous l'oreiller, pour ne pas manquer un SMS de l'être aimé. Cela serait charmant si les risques sanitaires n'étaient pas tels qu'on doive absolument les en informer !


Car au delà du problème sanitaire lié à la téléphonie mobile, largement décrit (voir : Récapitualtif du danger de la téléphonie mobile, il existe aujourd'hui une nouvelle préoccupation : l'addiction au portable ou au numérique, la cyber-dépendance ou encore la "nomophobie" (de l'Anglais No Mobile Phobia). C'est à dire l'usage excessif des écrans de smartphone ou de tablettes, qui se traduit par l'incapacité de ne pas consulter sans cesse son Facebook au travail ou dans la rue, par exemple ou pire, l'angoisse réelle à l'idée d'être séparé de son smartphone, dont de nombreuses personnes reconnaissent souffrir.
Ce phénomène a fait l'objet de nombreux articles, émissions de TV ou de radio ces deux dernières années, précisément depuis l'apparition de la 4G.


« Facebook, c'est comme un frigo, tu sais qu'il est vide mais tu vas vérifier toutes les 10 minutes... »


Ainsi, selon une enquête IFOP (2014) 78 % des moins de 25 ans se déclarent dépendants à leur mobile tout comme 62 % des cadres supérieurs. Les utilisateurs de smartphones sont également plus concernés par cette dépendance (58%).

Il suffit de voyager dans un RER en région parisienne ou de se trouver dans n'importe quel lieu d'attente, pour voir la majorité des gens pianoter sur leur portable, le visage baissé vers l'écran, comme pour éviter de rentrer en contact avec le réel. . Il est évident que le portable est très souvent un gadget pour tromper l'ennui tout en restant seul avec soi-même, dans sa bulle.





Même en couple, il est parfois un outil de distraction et de passe temps, dans un moment qui devrait être intime .
On est loin de la gêne des débuts, quand il était très malpoli de parler au téléphone en face d'un compagnon au restaurant !



La relation au smartphone peut même être tellement fusionnelle que selon une étude menée par Jumio et relayée par le Daily Mail, 20% des moins de 34 ans avouent utiliser leur mobile pendant l'amour : répondre à un texto, checker leurs tweets etc...
En effet, d'après cette enquête, réalisée auprès de 1700 britanniques, 62% des femmes interrogées auraient reconnu avoir interrompu un rapport sexuel pour regarder leur téléphone portable, contre 48% des hommes. Mais il ne s'agissait pas, pour la plupart, d'un simple regard lancé à leur mobile. 30% auraient ainsi répondu à un appel, et 20% auraient pris le temps de lire un texto ou e-mail et même d'y répondre !

Il est intéressant de remarquer que les troubles associés à cette dépendance sont très semblables à ceux des personnes électro-hypersensibles (EHS), qui souffrent des ondes sans en être utilisateurs : maux de tête, yeux secs, difficulté de concentration, confusion, fatigue extrême et insomnie...
Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pendance_%C3%A0_Internet
S'agit-il des prémices de ce que le Pr Belpomme appelle "l'intolérance électromagnétique", état non aigu d'électrosensibilité, chez ceux qui ressentent l'effet des ondes des technologies mobiles. ?

Par opposition à cela, la "déconnexion" devient une mode, de moins en moins timide et fait de plus en plus parler d'elle. L'objectif et le défi qu'elle propose est juste de vivre quelques jours sans consulter les réseaux sociaux, de passer de bonnes vacances sans son smartphone ou sa tablette. C'est à dire d'abord sans stress lié au besoin d'immédiateté, notamment lors d'une activité de bureau, pour être totalement dans le présent, avec les gens réels qui nous entourent !
Mais aussi sans cette pollution électromagnétique, quoi qu'elle soit invisible, de nos équipements mobiles : les micro-ondes numérisées en hyperfréquences et hyper basses fréquences des données, qui auraient dû en faire des outils à utiliser avec prudence et discernement.

Ainsi, la prise de conscience de cet excès et de ses conséquences sociales et sanitaires très négatives, a fait naître le désir chez de nombreux utilisateurs de ne plus utiliser leur outils sans fil quelques temps, afin de se sevrer de cette dépendance affective au mobile. Des sociétés proposent même désormais des stages de "détox numérique" ou "digital detox", proposant à leur client un week-end sans écran pour se "reconnecter" à soi et au réel. Le slogan employé le plus souvent est "déconnectez pour vous reconnecter"...

On trouve également, de plus en plus souvent dans les kiosques, des magazines expliquant "comment bien déconnecter pendant les vacances" et donnant de bonnes adresses pour passer des vacances sans Wi-fi et si possible le plus à l'écart des antennes-relais de téléphonie mobile.
Ce désir de détachement au mobile provient du sentiment d'être débordé par la technologie, de ne plus pouvoir se détendre et consacrer du temps aux choses présentes autour de soi, lorsque l'on est en vacances ou dans la vie de tous les jours.


Mais au travail également, on commence à parler du "droit à la déconnexion" des cadres pour éviter le "burn-out".
Lire : 'Stress, burn-out... le droit à la déconnexion des cadres fait son chemin' - Le Nouvel Observateur - 27/05/2014
Lire également : 'Droit à la déconnexion : c’est le temps d’en parler' - CGT - 01/09/2014

S'agissant de l'utilité d'avoir toujours un téléphone connecté sur soi, ce qui représente à peu près 95% des situations aujourd'hui en ville, c'est bien l'impérieuse exigence sociale du portable, qui s'est imposée et nous a fait oublier que si le téléphone peut sauver de nombreuses situations comme lors d'un voyage en pleine mer en solitaire, il est pratiquement toujours inutile lorsqu'on a besoin de ses deux mains et/ou de son attention (conduire, payer à une caisse, regarder un film au cinéma...) mais aussi lors d'un accident de la route. Le téléphone est alors bien souvent inaccessible ou hors d'usage.


Ainsi, au delà du problème sanitaire, il est évident que l'objet quasi culte que représente aujourd'hui le téléphone portable, devenu smartphone, qui, en plus de téléphoner et d'échanger des textos, permet de prendre des photos et d'échanger des e-mails, offre une sensation de liberté aux adolescents autant qu'à leurs parents. Leur occupation est donc excessivement portée sur cet accessoire (de mode), un accessoire unipersonnel qui nuit in fine à leur capacité d'attention, de mémorisation mais aussi à leur sociabilité.

Il suffit de voir et d'entendre les réactions de nombreux utilisateurs de téléphone portable lors d'une panne de réseau. L'angoisse les gagne . L'impression d'être totalement coupé du monde !



Ce clip, intitulé "I Forgot My Phone" est éloquent au sujet de la dépendance au smartphone :




A l'opposé de ces excès de sans-fil, plusieurs cafés, parisiens notamment, ont décidé de ne pas activer de box Wifi et invitent leurs clients à se parler entre eux, dans le monde réel !






Un autre exemple, au Canada, où un café a totalement bloqué le réseau mobile et le Wifi


Il y a quelques semaines, on vous disait sur notre page facebook "svp pas de wifi party ce week-end" . Ca en devient un vrai fléau. Vous êtes entre amis, il y a de la musique, un peu à manger, à boire et tous les membres de la soirée sont sur leur smartphone. Soit en train de répondre à un texto soit en train de consulter son Facebook. On a beau travailler dans la téléphonie, ce n'est pas possible! Quand on est avec ses amis, il faut en profiter.

Les fondateurs du Faraday Café au Canada sont de notre avis et ont décidé de baser leur concept café sur cette idée. Remettre au cœur des conversations l'humain en coupant toutes les connexions avec le monde extérieur. Vous aurez beau tendre le bras vers la fenêtre, vous ne capterez pas de réseau mobile et encore moins un wifi à proximité. Vous êtes obligés de vous intéresser à votre interlocuteur et vous ne pouvez plus vous échapper dans votre smartphone.

Pas besoin de penser que vous allez pouvoir pirater le dispositif. Si vous ne captez pas de réseau, cela est à cause de l'architecture du bâtiment qui a été pensée pour couper toutes les ondes.


Et vous quelle est votre solution pour que vos amis ne passent pas toute la soirée sur leur smartphone ?

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Source : http://actu.meilleurmobile.com/insolite-cafe-bloque-reseau-mobile-wifi_64856


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On peut donc espérer que peu à peu, les gens se rendront compte des limites et des dangers de la téléphonie mobile et du Wi-fi et, faisant suite à cette époque d'usage excessif et d'absence de limitation, une nouvelle époque de modération de l'utilisation personnelle et de limitation des puissances d'exposition aux ondes de la téléphonie mobile et du Wi-fi verra certainement le jour.

Une législation sera nécessaire mais en attendant, vous êtes informé et pouvez le faire savoir !
Si possible par téléphone fixe ou dans la "vraie vie" !

Robin Des Toits
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