"Les ondes nous grillent comme la nourriture au micro-ondes"
Deux Quimpéroises électro-hypersensibles ont accepté de témoigner sur leur handicap. Sous couvert d’anonymat, car ces personnes souffrent aussi d’une non-reconnaissance de leur maladie et d’une certaine forme de stigmatisation.
« Nous, on est confinées en permanence. À Quimper, il y a de la wifi, des téléphones, des tablettes partout… Je ne peux plus aller à la banque ou dans les magasins, il y a les caisses, les vitrines réfrigérées, tout est connecté », confie Liliane (*), une Quimpéroise âgée d’une cinquantaine d’années, électro-hypersensible, qui vit dans le centre-ville, mariée et mère de trois enfants de 26, 28 et 30 ans. [...] " (Le Télégramme - 1/03/2021)
Pour lire la suite :
https://www.letelegramme.fr/finistere/quimper/les-ondes-nous-grillent-comme-la-nourriture-au-micro-ondes-01-03-2021-12712373.php
(Robin des Toits - 14 mars 2021)
Deux Quimpéroises électro-hypersensibles ont accepté de témoigner sur leur handicap. Sous couvert d’anonymat, car ces personnes souffrent aussi d’une non-reconnaissance de leur maladie et d’une certaine forme de stigmatisation.
« Nous, on est confinées en permanence. À Quimper, il y a de la wifi, des téléphones, des tablettes partout… Je ne peux plus aller à la banque ou dans les magasins, il y a les caisses, les vitrines réfrigérées, tout est connecté », confie Liliane (*), une Quimpéroise âgée d’une cinquantaine d’années, électro-hypersensible, qui vit dans le centre-ville, mariée et mère de trois enfants de 26, 28 et 30 ans. [...] " (Le Télégramme - 1/03/2021)
Pour lire la suite :
https://www.letelegramme.fr/finistere/quimper/les-ondes-nous-grillent-comme-la-nourriture-au-micro-ondes-01-03-2021-12712373.php
(Robin des Toits - 14 mars 2021)