L'occasion de faire le point comme l'a expliqué le président Pierre Aylagas : "Certes ce n'est pas dans notre domaine de compétences, mais on ne peut pas occulter le sujet. Aussi à la Communauté de communes nous voulons informer chaque maire sur l'éventuelle nocivité d'un site. Ce sera ensuite à lui, avec son conseil municipal de prendre les décisions qu'il juge nécessaires".
Mutualiser l'étude
Et là est bien tout l'intérêt de cette collaboration, car c'est bien connu l'union fait la force dans ce domaine. Ainsi, un bureau d'études (dont le nom sera dévoilé à l'issue du délai légal d'ici la fin du mois) a été choisi. Et la décision n'a pas été simple, puisqu'il "fallait éviter au maximum les complicités avec les opérateurs pour être objectif et efficace". D'autant, qu'un cahier des charges extrêmement précis a été élaboré par les commanditaires portant par exemple sur les créneaux horaires, les jours fériés, les différentes amplitudes.... Toujours est-il que cette décision satisfait les associations, qui en appellent toujours à la vigilance et à "l'intervalle de confiance" concernant les émissions électromagnétiques de ces ondes qui selon elles "auraient des conséquences dramatiques sur notre santé et notre vie quotidienne".
Donc dans un premier temps, ce bureau spécialisé va effectuer les mesures des champs magnétiques et selon ses conclusions, il se pourrait que l'on assiste à un redéploiement des sites analysés.
Six sites contrôlés
Rappelons que six lieux sensibles ont été "sélectionnés" à : Argelès (collège des Albères et la rue Jean-Moulin), à Collioure (sur la route de Port-Vendres), à Port-Vendres (la tour Madeloc), à Saint-André (antenne sur la route de Sorède) et à Saint-Genis (dans la rue Jean-Jaurès).
Le territoire recense un total de quarante sites émettant des ondes électromagnétiques pour un total de soixante-quinze antennes émettrices. Une première donc dans le département, qui pourrait bien servir d'exemple.
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Source : http://www.lindependant.fr/2012/02/09/ondes-electromagnetiques-mieux-vaut-prevenir,115761.php
Mutualiser l'étude
Et là est bien tout l'intérêt de cette collaboration, car c'est bien connu l'union fait la force dans ce domaine. Ainsi, un bureau d'études (dont le nom sera dévoilé à l'issue du délai légal d'ici la fin du mois) a été choisi. Et la décision n'a pas été simple, puisqu'il "fallait éviter au maximum les complicités avec les opérateurs pour être objectif et efficace". D'autant, qu'un cahier des charges extrêmement précis a été élaboré par les commanditaires portant par exemple sur les créneaux horaires, les jours fériés, les différentes amplitudes.... Toujours est-il que cette décision satisfait les associations, qui en appellent toujours à la vigilance et à "l'intervalle de confiance" concernant les émissions électromagnétiques de ces ondes qui selon elles "auraient des conséquences dramatiques sur notre santé et notre vie quotidienne".
Donc dans un premier temps, ce bureau spécialisé va effectuer les mesures des champs magnétiques et selon ses conclusions, il se pourrait que l'on assiste à un redéploiement des sites analysés.
Six sites contrôlés
Rappelons que six lieux sensibles ont été "sélectionnés" à : Argelès (collège des Albères et la rue Jean-Moulin), à Collioure (sur la route de Port-Vendres), à Port-Vendres (la tour Madeloc), à Saint-André (antenne sur la route de Sorède) et à Saint-Genis (dans la rue Jean-Jaurès).
Le territoire recense un total de quarante sites émettant des ondes électromagnétiques pour un total de soixante-quinze antennes émettrices. Une première donc dans le département, qui pourrait bien servir d'exemple.
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Source : http://www.lindependant.fr/2012/02/09/ondes-electromagnetiques-mieux-vaut-prevenir,115761.php