Jeudi 18 octobre 2012, l'association Robin des toits a annoncé que le Jean-David Ciot, député PS des Bouches-du-Rhône, a présenté une proposition de loi visant à modifier la réglementation de l'implantation des antennes relais.
Cette proposition de loi "garantit (…) le principe de transparence visant à assurer une information claire ; le principe de la réduction des émissions visant à rendre les antennes les moins nocives possibles ; le principe de légitimité visant à donner un code des émissions au maire afin qu'il le fasse respecter sur sa commune ; le principe de zones protégées visant à interdire les antennes sur les écoles par exemple et enfin le principe de gouvernance participative". Ce faisant, elle "reprend dans les grandes lignes" des propositions du docteur Patrice Halimi et de l'association Santé environnement France, qui en septembre lançait un appel aux sénateurs et députés français.
Robin des toits rapporte que cet appel a reçu le soutien de 2.000 signatures.
Appel de 200 élus locaux
Parallèlement, René Dutrey, adjoint Europe Ecologie – Les Verts au maire de Paris en charge de l'Environnement, a indiqué que quelque 200 élus locaux, de toutes tendances, ont lancé un appel au Premier ministre pour une nouvelle loi sur la téléphonie mobile, rapporte l'AFP.
"Face aux incertitudes scientifiques et aux nombreux rapports alarmistes il est urgent d'inscrire dans la loi le principe de précaution en matière de téléphonie mobile", estime l'élu parisien, qui juge qu'"il faut que le gouvernement agisse rapidement afin que le seuil de 0,6 v/m (volt par mètre) devienne le seuil maximum d'exposition de la population aux champs électromagnétiques".
Un décret de 2002 fixe les seuils nationaux à 41 et 61 v/m selon la fréquence.
Philippe Collet
---
Voir la pétition : http://www.avaaz.org/fr/petition/stopper_le_lobbying_des_operateurs_telephonistes/
Cette proposition de loi "garantit (…) le principe de transparence visant à assurer une information claire ; le principe de la réduction des émissions visant à rendre les antennes les moins nocives possibles ; le principe de légitimité visant à donner un code des émissions au maire afin qu'il le fasse respecter sur sa commune ; le principe de zones protégées visant à interdire les antennes sur les écoles par exemple et enfin le principe de gouvernance participative". Ce faisant, elle "reprend dans les grandes lignes" des propositions du docteur Patrice Halimi et de l'association Santé environnement France, qui en septembre lançait un appel aux sénateurs et députés français.
Robin des toits rapporte que cet appel a reçu le soutien de 2.000 signatures.
Appel de 200 élus locaux
Parallèlement, René Dutrey, adjoint Europe Ecologie – Les Verts au maire de Paris en charge de l'Environnement, a indiqué que quelque 200 élus locaux, de toutes tendances, ont lancé un appel au Premier ministre pour une nouvelle loi sur la téléphonie mobile, rapporte l'AFP.
"Face aux incertitudes scientifiques et aux nombreux rapports alarmistes il est urgent d'inscrire dans la loi le principe de précaution en matière de téléphonie mobile", estime l'élu parisien, qui juge qu'"il faut que le gouvernement agisse rapidement afin que le seuil de 0,6 v/m (volt par mètre) devienne le seuil maximum d'exposition de la population aux champs électromagnétiques".
Un décret de 2002 fixe les seuils nationaux à 41 et 61 v/m selon la fréquence.
Philippe Collet
---
Voir la pétition : http://www.avaaz.org/fr/petition/stopper_le_lobbying_des_operateurs_telephonistes/