A sa lecture, il est difficile de préciser de façon claire et distincte, s’il s’agit d’incompétence ou de volonté délibérée d’altérer les faits. Ou éventuellement des deux.
Tout d’abord, on peut douter que l’auteur, en se référant à ce qu’il dit, ait lu ce sur quoi il fait un commentaire impérissable. Par le niveau du grotesque.
Il est vrai qu’il s’agit de 600 pages. Et de plus dans la langue commerciale provisoirement imposée, mais dont les défaillances dans la précision et dans la clarté sont universellement constatées. Et ici, il s’agit de travaux scientifiques.
Notons les termes employés dans ce microlibelle qui traite, rappelons-le, de documents scientifiques.
Nous lisons qu’il s’agit d’un « commentaire informel » concernant « certaines informations ».
Si l’auteur s’était au moins donné le mal de la lecture, mais a-t-il seulement vu ce dont il parle, il saurait qu’il est fait référence à plus de 1500 études publiées qui n’ont de plus fait l’objet d’aucune contestation.
Pour notre plumitif, le travail de la science pendant dix ans se nomme « certaines informations ».
Il s’agit clairement d’un habitué de la littérature scientifique.
Il nous apprend au surplus que les articles du Rapport sont l’oeuvre d’ « universitaires »- Lesquels sont des sommités de la branche scientifique concernée, le Bioélectromagnétisme. Le haut niveau de culture scientifique se confirme.
Le commentaire hautement autorisé s’abrite derrière diverses sources. LES OFFICIELLES :
- l’ICNIRP – Rappelons que la validité scientifique de cet organisme a été réduite en poussière, successivement par le Professeur KUNDI et le Professeur CHERRY.
Rappelons que les références scientifiques de l’ICNIRP sont celles qui étaient encore valides à la fin du XIXème siècle. L’ICNIRP peut donc être évoquée comme la pointe du progrès.
- l’OMS – Rappelons que le discrédit public de l’OMS est tel que la revue internationale THE LANCET a envisagé publiquement la nécessité de sa disparition.
Dans les références, il est omis de signaler, une distraction, que le Rapport BIOINITIATIVE a été validé puis publié par l’Agence Européenne de l’Environnement.
Le MMF cite les Organismes qui attestent l’innocuité. Il omet de préciser s’ils ont bien signé la déclaration d’indépendance en matière de conflits d’intérêts.
Le commentaire MMF parle « d’interprétation » pour diluer le fait de preuve scientifiquement établie.
On peut donc supposer que pour l’auteur la physique quantique et la relativité générale sont « des interprétations ». Qu’il produise ses travaux et on le Nobélise dans l’instant.
Nous apprenons enfin « qu’il n’existe aucune preuve de la toxicité » . Sauf quelques documents qui ne retiennent pas l’attention de l’auteur :
- les 1500 travaux scientifiques référencés dans le Rapport BIOINITIATIVE,
- une branche complète de la science nommée BIOELECTROMAGNETISME,
- les travaux de l’Université de Clermont Ferrand sur les cellules végétales,
- le Rapport récent de l’équipe belge ADANG – VANDER VORST qui ajoute aux toxicités déjà répertoriées celle du vieillissement prématuré.
Résumons : Il ne suffit pas d’être publié pour savoir de quoi on parle.
Concluons : En rappelant une formule aussi vieille que célèbre. Que nous dédions à tous les experts OFFICIELS passés, présents, et hélas à venir. ON NE SAURAIT AVOIR DEUX MAITRES, LA SCIENCE ET L’INDUSTRIE.
---
Ci-dessous, le « commentaire » du MMF (20/09/2007) et ce droit de réponse, au format pdf.
---
Voir également :
- Prof. Dr. Adlkofer - coordonnateur de l'étude REFLEX de l'OMS, met en cause la partialité de l'ICNIRP... (20/12/2005)
- 'L'OMS accusée de négligence' : Associated Press - 08/05/2007
- Pr Olle Johansson (Suède) dénonce le parti pris de l'OMS lors de son 'Colloque concernant l'hypersensibilité électromagnétique' (Prague, Oct. 2004)
- Téléphonie mobile: trafic d’influence à l’OMS ?
- CONGRÈS INTERNATIONAL D’ÉLECTROMAGNÉTISME – CEM EXPO 2003
Tout d’abord, on peut douter que l’auteur, en se référant à ce qu’il dit, ait lu ce sur quoi il fait un commentaire impérissable. Par le niveau du grotesque.
Il est vrai qu’il s’agit de 600 pages. Et de plus dans la langue commerciale provisoirement imposée, mais dont les défaillances dans la précision et dans la clarté sont universellement constatées. Et ici, il s’agit de travaux scientifiques.
Notons les termes employés dans ce microlibelle qui traite, rappelons-le, de documents scientifiques.
Nous lisons qu’il s’agit d’un « commentaire informel » concernant « certaines informations ».
Si l’auteur s’était au moins donné le mal de la lecture, mais a-t-il seulement vu ce dont il parle, il saurait qu’il est fait référence à plus de 1500 études publiées qui n’ont de plus fait l’objet d’aucune contestation.
Pour notre plumitif, le travail de la science pendant dix ans se nomme « certaines informations ».
Il s’agit clairement d’un habitué de la littérature scientifique.
Il nous apprend au surplus que les articles du Rapport sont l’oeuvre d’ « universitaires »- Lesquels sont des sommités de la branche scientifique concernée, le Bioélectromagnétisme. Le haut niveau de culture scientifique se confirme.
Le commentaire hautement autorisé s’abrite derrière diverses sources. LES OFFICIELLES :
- l’ICNIRP – Rappelons que la validité scientifique de cet organisme a été réduite en poussière, successivement par le Professeur KUNDI et le Professeur CHERRY.
Rappelons que les références scientifiques de l’ICNIRP sont celles qui étaient encore valides à la fin du XIXème siècle. L’ICNIRP peut donc être évoquée comme la pointe du progrès.
- l’OMS – Rappelons que le discrédit public de l’OMS est tel que la revue internationale THE LANCET a envisagé publiquement la nécessité de sa disparition.
Dans les références, il est omis de signaler, une distraction, que le Rapport BIOINITIATIVE a été validé puis publié par l’Agence Européenne de l’Environnement.
Le MMF cite les Organismes qui attestent l’innocuité. Il omet de préciser s’ils ont bien signé la déclaration d’indépendance en matière de conflits d’intérêts.
Le commentaire MMF parle « d’interprétation » pour diluer le fait de preuve scientifiquement établie.
On peut donc supposer que pour l’auteur la physique quantique et la relativité générale sont « des interprétations ». Qu’il produise ses travaux et on le Nobélise dans l’instant.
Nous apprenons enfin « qu’il n’existe aucune preuve de la toxicité » . Sauf quelques documents qui ne retiennent pas l’attention de l’auteur :
- les 1500 travaux scientifiques référencés dans le Rapport BIOINITIATIVE,
- une branche complète de la science nommée BIOELECTROMAGNETISME,
- les travaux de l’Université de Clermont Ferrand sur les cellules végétales,
- le Rapport récent de l’équipe belge ADANG – VANDER VORST qui ajoute aux toxicités déjà répertoriées celle du vieillissement prématuré.
Résumons : Il ne suffit pas d’être publié pour savoir de quoi on parle.
Concluons : En rappelant une formule aussi vieille que célèbre. Que nous dédions à tous les experts OFFICIELS passés, présents, et hélas à venir. ON NE SAURAIT AVOIR DEUX MAITRES, LA SCIENCE ET L’INDUSTRIE.
---
Ci-dessous, le « commentaire » du MMF (20/09/2007) et ce droit de réponse, au format pdf.
---
Voir également :
- Prof. Dr. Adlkofer - coordonnateur de l'étude REFLEX de l'OMS, met en cause la partialité de l'ICNIRP... (20/12/2005)
- 'L'OMS accusée de négligence' : Associated Press - 08/05/2007
- Pr Olle Johansson (Suède) dénonce le parti pris de l'OMS lors de son 'Colloque concernant l'hypersensibilité électromagnétique' (Prague, Oct. 2004)
- Téléphonie mobile: trafic d’influence à l’OMS ?
- CONGRÈS INTERNATIONAL D’ÉLECTROMAGNÉTISME – CEM EXPO 2003