Edition de Lyon
La cour de récré de l'école Gerson, surplombée par plusieurs antennes relais , doit-elle être interdite à une certaine catégorie de la population ? C'est ce que préconise un expert du centre de recherches et d'informations indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem), au vu des mesures de champs réalisées en mars à l'école. Effectués à la demande de la ville de Lyon, ces relevés font apparaître dans l'une des cours de l'établissement des niveaux d'exposition « de 3, 4 Volts par mètre ».
Un taux inférieur aux valeurs limites légales en vigueur en France (entre 41 V/m et 65 V/m) mais argement supérieur au seuil de 3V/m, au-delà duquel « des dysfonctionnements sur les appareils
électroniques ou électriques peuvent intervenir ». « La cour de récréation devrait être fermée et interdite à tout porteur d'implants d'assistance médicale (appareils auditifs, pacemakers) », conclut
l'expert du Criirem, Pierre Le Ruz. «La valeur limite de 1 V/m, qui garantit l'innocuité sanitaire, est très souvent dépassée », ajoute le scientifique, chargé par les parents d'élèves de Gerson d'analyser les
relevés de mesure. Mobilisés depuis deux ans pour obtenir le retrait des antennes surplombant la cour de leurs enfants, ces derniers ont assigné Bouygues télécom, propriétaire des installations, devant la justice lyonnaise. « Cet avis scientifique est un élément concret et probant qui valide nos craintes », indique Jean-Michel Dhimoila, président du Rassemblement pour des écoles sans pollution électromagnétique. « Il valide aussi ce que nous demandons depuis des années », poursuit ce parent d'élève de Gerson, soucieux de convaincre le tribunal de grande instance des risques encourus par les écoliers.
Une audience, fixée au 23 juin, au cours de laquelle Bouygues fera certainement valoir d'autres arguments. « Les ondes émises par nos antennes ne représentent que 50 % des émissions totales, le reste étant imputable à la FM », a réagi hier l'opérateur. W dans 20 Minutes du 05/06/2009
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Commentaire Robin des Toits :
Les ondes de la TV et de la FM sont des ondes continues (c'est à dire non pulsées) et n'émettant pas d'extrêmement basses fréquences, contrairement à la téléphonie mobile (portables, antennes-relais, wifi, dect, bluetooth), qui elle, utilise une structure physique dl’émission composite.
A savoir :
– une hyperfréquence, ou micro-onde,
– une gamme de très basses fréquences,
– une multipulsation chaotique, c’est-à-dire sans résonance de rythmes.
Chacune des bandes de fréquences comporte une toxicité. Mais la plus forte est celle des saccades. Là, le désordre a la forme de "micromitrailleuses" électromagnétiques. Et cela suffit non seulement pour désorganiser les processus physiologiques mais même pour décomposer des structures biochimiques.
Ce désordre est cause d’agressions physiologiques primaires, dont 4 principales :
– la perte d’étanchéité de la barrière sang-cerveau,
– la perturbation de production de la mélatonine,
– la déstabilisation des régulations membranaires,
– les dommages génétiques.
Elles engendrent à leur tour les pathologies spécifiques de l’exposition du vivant aux hyperfréquences pulsées. ( Voir Syndrome des Micro-Ondes) ...
La cour de récré de l'école Gerson, surplombée par plusieurs antennes relais , doit-elle être interdite à une certaine catégorie de la population ? C'est ce que préconise un expert du centre de recherches et d'informations indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem), au vu des mesures de champs réalisées en mars à l'école. Effectués à la demande de la ville de Lyon, ces relevés font apparaître dans l'une des cours de l'établissement des niveaux d'exposition « de 3, 4 Volts par mètre ».
Un taux inférieur aux valeurs limites légales en vigueur en France (entre 41 V/m et 65 V/m) mais argement supérieur au seuil de 3V/m, au-delà duquel « des dysfonctionnements sur les appareils
électroniques ou électriques peuvent intervenir ». « La cour de récréation devrait être fermée et interdite à tout porteur d'implants d'assistance médicale (appareils auditifs, pacemakers) », conclut
l'expert du Criirem, Pierre Le Ruz. «La valeur limite de 1 V/m, qui garantit l'innocuité sanitaire, est très souvent dépassée », ajoute le scientifique, chargé par les parents d'élèves de Gerson d'analyser les
relevés de mesure. Mobilisés depuis deux ans pour obtenir le retrait des antennes surplombant la cour de leurs enfants, ces derniers ont assigné Bouygues télécom, propriétaire des installations, devant la justice lyonnaise. « Cet avis scientifique est un élément concret et probant qui valide nos craintes », indique Jean-Michel Dhimoila, président du Rassemblement pour des écoles sans pollution électromagnétique. « Il valide aussi ce que nous demandons depuis des années », poursuit ce parent d'élève de Gerson, soucieux de convaincre le tribunal de grande instance des risques encourus par les écoliers.
Une audience, fixée au 23 juin, au cours de laquelle Bouygues fera certainement valoir d'autres arguments. « Les ondes émises par nos antennes ne représentent que 50 % des émissions totales, le reste étant imputable à la FM », a réagi hier l'opérateur. W dans 20 Minutes du 05/06/2009
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Commentaire Robin des Toits :
Les ondes de la TV et de la FM sont des ondes continues (c'est à dire non pulsées) et n'émettant pas d'extrêmement basses fréquences, contrairement à la téléphonie mobile (portables, antennes-relais, wifi, dect, bluetooth), qui elle, utilise une structure physique dl’émission composite.
A savoir :
– une hyperfréquence, ou micro-onde,
– une gamme de très basses fréquences,
– une multipulsation chaotique, c’est-à-dire sans résonance de rythmes.
Chacune des bandes de fréquences comporte une toxicité. Mais la plus forte est celle des saccades. Là, le désordre a la forme de "micromitrailleuses" électromagnétiques. Et cela suffit non seulement pour désorganiser les processus physiologiques mais même pour décomposer des structures biochimiques.
Ce désordre est cause d’agressions physiologiques primaires, dont 4 principales :
– la perte d’étanchéité de la barrière sang-cerveau,
– la perturbation de production de la mélatonine,
– la déstabilisation des régulations membranaires,
– les dommages génétiques.
Elles engendrent à leur tour les pathologies spécifiques de l’exposition du vivant aux hyperfréquences pulsées. ( Voir Syndrome des Micro-Ondes) ...